Bacheliers Boisséens : comment obtenir la bourse au mérite ?
Bravo à tous les nouveaux bacheliers Boisséens de cette année 2020 ! Beaucoup de réussite à tous dans la suite de votre parcours étudiant et/ou professionnel. Depuis 2016, la Région Île-de-France aide les jeunes franciliens boursiers, ayant obtenu leur bac avec la mention Très Bien et qui poursuivent leurs études en Île-de-France Conditions à remplir Pour bénéficier de la bourse au mérite régionale, il faut : Avoir obtenu le bac 2020 avec mention « très bien » en Île-de-France, Résider en Île-de-France, Être inscrit à la rentrée 2020-2021 dans un établissement d’enseignement supérieur ou de formation sanitaire et sociale situé en Île-de-France, Être attributaire de la bourse sur critères sociaux (BCS) et de l’aide au mérite de l’État, versées par les Centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires (Crous) des académies de Paris, Versailles et Créteil, Une fois ces conditions remplies, il n’y a aucune démarche à accomplir. La Région versera, par l’intermédiaire du Crous de Paris, la bourse régionale d’un montant de 1.000 euros au cours de l’année universitaire 2020-2021. Inscription à la bourse au mérite régional : iledefrance.fr
Prix du Président de la République : le Domaine de Grosbois à l’honneur
Le 22 juins 2020, un cheval du Domaine De Grosbois a remporté le prix du Président de la République ! Le Prix du Président de la République est une course hippique de trot monté qui se déroule au mois de juin sur l’hippodrome de Vincennes à Paris. C’est une course de Groupe 1 réservée aux chevaux de 4 ans, hongres exclus, ayant gagné au moins 38 000 €. Elle se court sur la distance de 2 850 mètres (grande piste). Les pensionnaires de Grosbois ont fait sensation ce dimanche à Vincennes et arrivent tout en haut du classement. Gladys des Plaines, un cheval du Domaine de Grosbois, monté par le jeune jockey M. Mottier a offert à son sympathique entraîneur, Gilles Curens, et à son propriétaire, Augustin Radu, une première victoire dans un Groupe 1 avec ce prix. La course s’est déroulée sans public à cause de la situation sanitaire, mais l’entraîneur de Gladys des Plaines, Gilles Currens, est venu fêter sa victoire hier soir au Palais d’Agadir avec toute son équipe. Une belle rencontre que nous avons pu partager ensemble. Occasion pour nous de saluer les champions et la championne pour sa formidable course ! Pour voir ou revoir la course de la nouvelle Présidente c’est ici >> equidia.fr
La solidarité fait déjà place à la récupération politique à Boissy !
Nous avions tous espéré que le moment particulier que nous venons de vivre réinterroge les pratiques politiques et permette une remise en question de nos responsables. À la lecture du dernier tract du maire candidat en sursis, chacun pourra constater que nos espoirs d’un monde meilleur et d’un débat politique apaisé, constructif et bienveillant se sont déjà envolés. À peine le déconfinement entamé, le maire de Boissy s’est précipité dans nos boites aux lettres pour déverser son fiel et sa rancœur, plus vite qu’il n’aura été capable de distribuer des masques à tous les Boisséens, malgré la mobilisation exceptionnelle du personnel communal. Face à cette attitude agressive, mensongère et contre-productive, nous ne pouvons pas rester silencieux Dès l’annonce du confinement, nous avons suspendu notre campagne. Nous avons respecté comme vous tous le confinement pour éviter la propagation de l’épidémie. Chacun de nos colistiers, à son niveau, a participé à la chaine de solidarité, en confectionnant des masques, en participant à des collectes solidaires, en appelant des voisins isolés, en accompagnant les plus fragiles. Nos colistiers adhérents de l’association des commerçants ont également recensé tous les commerces ouverts à Boissy (document qui a d’ailleurs été repris par la ville), organisé des actions de communication pour promouvoir leur activité, accompagné la librairie dans sa réouverture… De son côté, le maire a choisi de gérer la crise seul. Rien n’a été mis en place pour intégrer l’opposition et les Boisséens à la gestion de cette crise D’autres maires ont géré différemment. À Villiers-sur-Marne, par exemple, le maire a tenu toutes les semaines une conférence téléphonique avec les élus de l’opposition et les candidats aux élections municipales. À Créteil, le maire a systématiquement invité les élus de l’opposition à toutes les actions organisées par la ville. Dans certaines villes, les commerçants ont été dotés gratuitement de visières et de plexiglass de protection : pas à Boissy ! Dans certaines villes, la municipalité a organisé elle-même des distributions à prix réduit de paniers de fruits et légumes frais aux plus fragiles : pas à Boissy ! Dans certaines villes, la municipalité a organisé, grâce à des étudiants bénévoles, des cours de soutien gratuits par visio-conférence : pas à Boissy ! Dans certaines villes, des aides complémentaires ont été accordées aux familles les plus fragiles pour compenser l’absence de cantine : pas à Boissy ! À l’heure où les citoyens demandaient proximité, union et entraide, ce manque de concertation et d’ouverture d’esprit n’a pas été à la hauteur de la situation et c’est bien dommage pour les Boisséens. Monsieur le maire, si la gestion de crise sanitaire a été un tel fardeau comme s’en plaignent vos amis, les Boisséens ne vous retiennent pas ! Ressaisissez-vous Monsieur le maire ! D’un côté vous reprochez à l’opposition son absence, de l’autre vous vous êtes offusqué de la présence de Laure THIBAULT aux distributions des masques de la Région sur le parvis de la gare de RER à Boissy. La raison invoquée : Laure THIBAULT n’est pas une élue. À l’incohérence de vos propos, s’ajoute un mépris de l’engagement citoyen désintéressé. Faut-il être nécessairement élu, ou encore mieux, appartenir à VOTRE SEULE majorité pour avoir le droit de s’engager dans notre ville ? Par ailleurs, vous reprochez à Laure THIBAULT de ne pas habiter Boissy depuis suffisamment longtemps (cinq ans tout de même). Combien d’années d’ancienneté à Boissy faut-il revendiquer pour devenir un citoyen de la ville à part entière ? Votre vision du « parfait » citoyen risque d’exclure un grand nombre de Boisséens… y compris au sein même de votre majorité ! Revenez à la raison et parlons enfin de ce qui intéresse les Boisséens, débattons de nos projets, qui engagent l’avenir de notre ville.
Le président de l’association des commerçants de Boissy rejoint notre équipe
Commerçant à votre service depuis plus de 25 ans à Boissy-Saint-Léger, je n’ai jamais ressenti le besoin de m’investir dans la vie politique jusqu’à ce jour. Mais les commerçants subissent les décisions des différentes équipes municipales. Contribuables comme vous, ils sont au même titre que les bénévoles associatifs, le coeur et le moteur d’une ville. Pourquoi devrions-nous subir les décisions politiques et nous taire lorsque l’avenir de la ville est en jeu ? C’est pour être acteur de la réussite de nos commerces que je me suis investi dans l’association des commerçants de Boissy pour en devenir le président. Depuis que nous avons relancé l’association en avril 2019, nous avons obtenu de belles réussites. Nos actions ont permis de nous faire connaitre et d’augmenter la fréquentation dans nos enseignes permettant d’envisager de les rendre enfin pérennes. Et je suis fier d’avoir contribué à la réouverture prochaine de la librairie de la rue de Paris. C’est un projet auquel je tenais, persuadé que la librairie est un moteur important pour notre centre-ville et surtout un accès à l’information et à la culture indispensable aux Boisséens. Mais je suis conscient également qu’aujourd’hui si on veut aller plus loin pour améliorer la situation du commerce à Boissy, il faut compter sur une équipe municipale engagée à 100 % dans cet objectif. Si je m’engage aux côtés de Laure, c’est que je suis convaincu qu’elle porte un véritable projet pour la dynamisation du commerce de proximité dans notre ville. Elle apporte une vision nouvelle et des éclairages intéressants du fait de ses responsabilités professionnelles auprès d’élus locaux. En même temps, elle est très à l’écoute des spécificités Boisséennes et de l’Histoire de notre ville. Alors que certains passent leur temps à dire que rien ne va, et d’autres que tout va bien, Laure THIBAULT regarde la situation avec lucidité et met un point d’honneur à mettre en avant les atouts de la ville et les perspectives d’évolution. Stéphane SUIR
Nuisances aériennes : Nos propositions pour protéger notre cadre de vie
En décembre dernier, l’Etat présentait un nouveau projet du plan de prévention du bruit dans l’environnement (PPEB) d’Orly, document qui vise à prévenir les effets du bruit liés à la plateforme aéroportuaire et à les réduire si nécessaire. De nombreux élus, dont le Conseil municipal de Boissy, s’étaient opposés à ce plan considérant d’une part qu’il n’apportait pas d’avancées significatives dans la lutte contre les nuisances sonores et d’autre part parce qu’il créait de nouvelles contraintes d’urbanisme impactant excessivement le tissu urbain des villes survolées (et notamment la valeur des biens immobiliers). Face aux revendications des associations de riverains et des élus, l’Etat a proposé en août dernier un nouveau PPEB soumis à consultation publique Ce nouveau document est globalement plus favorable que la version précédente. L’extension des contraintes d’urbanisme a été abandonnée et de nouvelles mesures sont proposées pour lutter contre les nuisances : l’amélioration de l’information des nouveaux arrivants, la poursuite des programmes d’insonorisation, la réduction du bruit moyen de 6 dBA (décibels pondérés A) entre 22h et 23h30. Bien que plus favorable, nous considérons qu’il faudrait aller encore plus loin pour protéger les riverains de l’aéroport d’Orly. Nous continuons donc de soutenir les mesures portées par les associations de riverains et les élus depuis de nombreuses années : Allonger d’une heure le couvre-feu pour se rapprocher des 8h de sommeil consécutives préconisées par l’OMS. Limiter le nombre d’avions gros-porteurs qui génèrent plus de bruit et de pollution. Ils sont aussi de plus en plus nombreux (+18% entre 2017 et 2019). Renforcer le dispositif d’aide à l’insonorisation : 50% des riverains d’Orly n’ont toujours pas leur habitation insonorisée. Faire circuler les avions selon leur niveau de bruit c’est-à-dire exclure les avions les plus bruyants des plages horaires les plus sensibles (dès 22h le soir avant le couvre-feu et de 6h à 8h lors de la reprise du trafic, également les dimanches de midi à 15h). Telles sont les observations que nous formulerons pour notre groupe dans le cadre de l’enquête publique en cours. Vous pouvez compter sur notre détermination à défendre notre cadre de vie. Retrouvez l’ensemble de nos propositions pour améliorer notre cadre de vie : Nos propositions
Violences faites aux femmes : nos propositions d’actions pour Boissy
138 femmes sont mortes, depuis le début de l’année 2019 ! 138 vies brisées, 138 familles détruites. Nous leur devons plus, nous devons faire plus pour toutes celles qui sont en situation de souffrance et de danger. Une proposition de loi a été votée au parlement, à l’initiative du député LR Aurélien Pradie. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour lutter contre ce fléau. Ici à Boissy, je souhaite développer des actions pour qu’à notre niveau, nous participions à la mobilisation contre les violences faites aux femmes : Mise en place d’un groupe de travail spécifiquement dédié aux violences faites aux femmes au sein du Conseil local de la sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD). Création d’une maison des femmes pour assurer aux victimes qui trouvent le courage de parler un accompagnement complet et personnalisé Malheureusement, dans ces situations, ce sont les femmes qui doivent le plus souvent quitter le domicile conjugal. En attendant que la loi s’applique et que les victimes puissent restées chez elle, nous imposerons, dans chaque nouveau programme immobilier, des logements pour les femmes victimes de conjoints violents, et pour leurs enfants afin qu’ils retrouvent au plus vite la stabilité nécessaire pour commencer une nouvelle vie. Information et sensibilisation en direction de tous les élus mais également des agents municipaux susceptibles d’être en contact avec une victime ou volontaires. Chaque 25 novembre pour la journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, nous organiserons une action de sensibilisation et d’information auprès des jeunes et en direction du grand public pour que cette question s’invite dans toutes les consciences. Nous devons agir et nous devons agir vite !
Téléthon 2019 à Boissy
Boissy se mobilise pour le Téléthon : Animations, tombola, maquillage, bourse aux jouets… C’était le 7 décembre 2019 au gymnase Maurice Préault.Bravo et merci à tous ceux qui ont organisé cette journée, personnel de la mairie et bénévoles. Pour l’avenir, nous souhaitons amplifier la mobilisation des Boisséens pour le Téléthon. Nous proposerons donc un grand défi à l’échelle de la ville pour rassembler tous les Boisséens autour d’un objectif commun. Nous souhaitons également mettre à l’honneur les myopathes et leurs familles pour sensibiliser à leurs maladies. En ce week-end national de mobilisation du Téléthon, les malades et leurs familles comptent sur vous ! Pour faire un don au Téléthon, un seul numéro : 3637
Marché de Noël 2019 à Boissy-Saint-Léger
Retour en images du marché de Noël de Boissy ce week-end durant lequel nous avons pu échanger avec les exposants et les Boisséens. Ces moments privilégiés nous permettent d’écouter et d’analyser leurs attentes afin de pouvoir proposer des solutions pour pérenniser, améliorer et rendre plus conviviale cet événement de fin d’année en y associant notamment les commerçants de Boissy. Merci aux agents de la ville de Boissy-Saint-Léger pour leur implication cette année encore.
Violences faites aux femmes : nos propositions d’actions pour Boissy
138 femmes sont mortes, depuis le début de l’année 2019 ! 138 vies brisées, 138 familles détruites. Nous leur devons plus, nous devons faire plus pour toutes celles qui sont en situation de souffrance et de danger. Une proposition de loi a été votée au parlement, à l’initiative du député LR Aurélien Pradie. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour lutter contre ce fléau. Ici à Boissy, je souhaite développer des actions pour qu’à notre niveau, nous participions à la mobilisation contre les violences faites aux femmes : Mise en place d’un groupe de travail spécifiquement dédié aux violences faites aux femmes au sein du Conseil local de la sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD). Création d’une maison des femmes pour assurer aux victimes qui trouvent le courage de parler un accompagnement complet et personnalisé Malheureusement, dans ces situations, ce sont les femmes qui doivent le plus souvent quitter le domicile conjugal. En attendant que la loi s’applique et que les victimes puissent restées chez elle, nous imposerons, dans chaque nouveau programme immobilier, des logements pour les femmes victimes de conjoints violents, et pour leurs enfants afin qu’ils retrouvent au plus vite la stabilité nécessaire pour commencer une nouvelle vie. Information et sensibilisation en direction de tous les élus mais également des agents municipaux susceptibles d’être en contact avec une victime ou volontaires. Chaque 25 novembre pour la journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, nous organiserons une action de sensibilisation et d’information auprès des jeunes et en direction du grand public pour que cette question s’invite dans toutes les consciences. Nous devons agir et nous devons agir vite !
Rodéos sauvages : Nous remercions Metin Yavuz, conseiller départemental du Val-de-Marne pour son intervention
Le conseiller départemental Metin Yavuz a interpellé le Préfet lors de son audition devant l’assemblée départementale sur la situation concernant les rodéos sauvages. Depuis le 1er janvier, 54 procédures ont été diligentées (chiffre arrêté au 13 septembre). Ce qui a conduit à 52 interpellations dont 42 gardes à vue. 45 engins ont été identifiés, la moitié placée en fourrière ou sous scellés, la moitié immobilisée ou détruite.* Une législation inadaptée Si la lutte contre les rodéos s’intensifie dans le Val-de-Marne depuis le début de cette année, nous déplorons que la législation et les moyens soient encore trop souvent inadaptés pour garantir aux riverains concernés un coup d’arrêts de ces nuisances intolérables qu’ils subissent parfois au quotidien. Alors que le Préfet se réjouit de l’efficacité de son action, les faits et témoignages sur le terrain sont beaucoup moins optimistes. Arrêter un pilote reste toujours aussi difficile. « Cela fait des années qu’on nous demande quasi systématiquement d’arrêter les courses-poursuites de peur qu’un drame arrive, peste un policier de terrain. C’est démoralisant car les habitants nous demandent des comptes. »* Dans de nombreuses villes du département, les rodéos sauvages continuent de nuire à la qualité de vie et à la sécurité des riverains. À Boissy, si certains quartiers sont plus impactés que d’autres, c’est l’ensemble de la commune qui est concernée par ces nuisances insupportables. Pourtant, le maire de Boissy préfère se boucher les oreilles plutôt que d’engager des actions efficaces. Le maire candidat à sa réélection ne semble pas prendre la mesure des nuisances occasionnées par les rodéos sauvages dans notre ville. En effet, lors d’un conseil municipal, le maire a expliqué que ces rodéos sauvages n’étaient en rien une nuisance sonore puisque le bruit occasionné était de courte durée… nous attendons qu’il explique sa pensée complexe auprès des riverains excédés ! Nous dénonçons également l’attitude des élus de la majorité et certains de l’opposition qui pour la plupart n’ont pas contesté les propos du maire se faisant les complices de sa politique et de son bilan qui fait apparaître une augmentation des nuisances occasionnées par les rodéos sauvages sur le territoire de Boissy, un bilan que les Boisséens dénoncent eux depuis longtemps. Des villes voisines engagées contre les rodéos sauvages L’an dernier, à L’Haÿ-les-Roses, les policiers avaient tenté de lutter contre les rodéos en lançant des procédures pour agression sonore réitérée. L’avantage : les policiers peuvent arrêter le contrevenant chez lui le lendemain matin. Seul bémol, la législation car il est malgré tout difficile de caractériser ce genre d’infraction. Pour autant, l’exemple de L’Haÿ-les-Roses confirme notre conviction que des actions peuvent être mises en place à l’échelle communale. Malgré les manquements de la législation actuelle, le futur maire devra engager toute son énergie pour optimiser les divers outils législatifs qui lui confèrent l’autorité nécessaire, par des arrêtés municipaux, afin d’orchestrer de véritables actions concrètes et efficaces. *Sources Le Parisien 94