Engagés contre la fermeture d’une classe à l’école maternelle Amédée Dunois

Le 4 juin 2019, notre école maternelle Amédée Dunois avait besoin du soutien de tous les parents d’élèves. En effet, une fermeture de classe de maternelle menaçait la rentrée 2019-2020. En juin dernier, 87 élèves étaient inscrit pour 4 classes. Passé sous la barre de 90 élèves, c’est une fermeture probable. Malheureusement, ne sont pas pris en compte dans ces effectifs les nouveaux arrivants des programmes neufs de la rue de Paris sectorisés à Amédée Dunois et les dérogations pour le regroupement des fratries sectorisés à Savereau. Les parents d’élèves appelaient à une mobilisation le JEUDI 6 JUIN dès 8h20 à l’école maternelle Amédée Dunois et nous leur avons apporté notre soutien total. Suite à cette mobilisation, l’Education Nationale est revenue sur sa décision permettant de sauver cette classe. Bravo à tous les participants !
Insécurité à la Haie Griselle : engagés auprès des mamans de Boissy

Le 1er juin 2019, les mamans de la Haie Griselle, soutenues par celles d’autres villes, ont défilé pour dire non à la violence. En tête de cortège, à visage découvert et avec beaucoup d’amour, de courage et de fierté, elles ont souhaité envoyer un message fort pour que cessent les violences dans le quartier de la Haie Griselle, ce quartier qu’elles aiment et que nous aimons. Nous étions présents pour témoigner de notre soutien à ces mères courage qui se lèvent pour que le quartier retrouve son calme. Bravo à elles pour cette belle initiative que chacun se doit de soutenir.
Mobilisation à Boissy contre l’augmentation des nuisances aériennes

Belle mobilisation d’une partie de notre équipe hier sur le marché de Boissy pour faire signer la pétition contre l’augmentation des nuisances aériennes. Un bel accueil avec déjà près de 200 signatures.
Le projet de prison à Noiseau, un impact incertain sur notre cadre de vie à Boissy

Alors que notre mobilisation contre le projet de prison à Limeil-Brévannes s’est achevée par une victoire contre l’Etat, celui chez nos voisins de Noiseau est toujours d’actualité. La question n’est pas de savoir si l’on est pour ou contre l’implantation de nouvelles prisons. La question c’est pourquoi implanter cette prison sur des terres agricoles cultivées, sur des terrains qui n’appartiennent pas à l’Etat et dans un secteur sans infrastructures de transports majeures ; alors même que ce secteur fait l’objet d’un projet d’agro-quartier mêlant logements et activités économiques ? Nos droits bafoués, notre voix ignorée Le Gouvernement défend ce choix en prétextant le respect des droits des 800 prisonniers prévus dans cette prison et notamment du droit à résider proche de chez eux. Qu’en est-il des droits des 4 700 Noiséens et des nombreux Boisséens honnêtes qui se sont installés dans ce secteur pour vivre en paix ? Qu’en est-il de la démocratie quand le gouvernement, contrairement à ses premiers engagements, impose un tel projet contre la volonté de l’ensemble de la population et des élus locaux ? Qu’en est-il surtout du droit des prisonniers quand l’Etat remet toujours à plus tard la réhabilitation de la prison de Fresnes ? Une saturation des transports à prévoir sur la commune de Boissy 800 prisonniers, ce sont 800 familles susceptibles de leur rendre visite. Qu’en est-il des infrastructures de transports ? L’axe routier depuis la N4 qui traverse Noiseau et ensuite Boissy-Saint-Léger via la rue de Sucy entre le Bois Clary et la N19, subira automatiquement une augmentation très importante du trafic, tout autant que les transports en commun depuis notre gare RER A. À cela, se rajoute des projets de logements sociaux et de fonction à Noiseau, une population nouvelle qui utilisera également les infrastructures de transports déjà saturées. Le Val-de-Marne ne doit pas être le seul département de toutes les solidarités Notre département contribue largement à la politique carcérale française avec Fresnes, deuxième plus grande prison de France (1 700 places) dont on nous promet depuis trop longtemps la réhabilitation. Le Gouvernement fait subir au val-de-marnais une double peine en lui imposant 30% des nouvelles places de prisons de la région tout en lui refusant de bénéficier de nouvelles infrastructures sportives liées à l’organisation des futurs Jeux Olympiques. Alors que d’autres communes de France sont demandeuses de projets pénitenciers, le Gouvernement impose ses choix sans concertations avec nos élus locaux, mettant en péril des projets de développement écologiques et économiques vitaux pour notre territoire. Le Val-de-Marne n’est pas le territoire servant de Paris ! Paris compte plus de 2 millions d’habitants avec une prison de 800 places (la Santé). Le Val-de-Marne compte 1,4 millions d’habitants avec déjà une prison,de 1 700 places (Fresnes) et l’Etat voudrait imposer une nouvelle prison de 800 places ? Pourtant, il reste de le place à côté du nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris, mais peut-être qu’une prison ferait tâche dans ce nouveau quartier chic des Batignolles. Pourquoi notre département devrait accueillir 3 fois plus de places de prison que Paris ? De quel droit sacrifie-t-on encore le Val-de-Marne ? Pour nous les Jeux Olympiques C’EST NON mais les prisons C’EST OUI ! Ça suffit !!!
Engagés à Boissy contre le projet de prison chez nos voisins à Noiseau

Nous étions présents le 9 novembre 2019 aux côtés du maire Yvan FEMEL, Maire de Noiseau, pour dire NON au projet de prison de 700 places dans ce petit village de moins de 5 000 habitants. Après Limeil-Brévannes, l’Etat s’arroge de nouveau le droit de décider de l’avenir de nos territoires sans aucune consultation avec les élus locaux et les habitants et au mépris des projets locaux qui concourent au rééquilibrage territoriale est/ouest ( développement économique, transports, logements, etc).
Engagés contre la fermeture du bureau de poste de la rue de Paris

Le couperet est tombé début novembre 2018, le bureau de poste de la rue de Paris fermait définitivement ses portes. Nous condamnons fermement cette décision qui va à l’encontre des intérêts des usagers sacrifiant le quotidien des Boisséens sur l’autel des économies budgétaires. Ceci alors que la Poste a bénéficié de près de 991 millions d’euros grâce au CICE (crédit d’impôt) mis en place par le couple Hollande / Macron. Cette décision a des conséquences pour les Boisséens et s’ajoute au mépris de l’État pour les collectivités locales, attitude qui menace l’existence de nos services publics de proximité, utiles aux citoyens, en particulier aux plus fragiles. Notre équipe s’est mobilisée dès la première heure aux côtés des élus de Boissy Que ce soit lors des réunions publiques, des mobilisations devant le bureau de poste, du rassemblement devant le ministère à Bercy, de nos mobilisations pour faire signer une pétition, notre équipe s’est engagé sur tous les fronts pour défendre notre bureau de poste jusqu’à sa fermeture définitive et au-delà. Cette mobilisation transpartisanne, seul LReM s’est abstenu, a montré que l’intérêt général pouvait prévaloir sur l’intérêt politique. Nous avons rappelé à l’ordre le maire de Boissy qui baissait déjà les bras en 2016 Lors d’une réunion publique, nous avions interpellé le maire alors qu’il déclarait quelques jours avant dans les colonnes du Parisien qu’il se préparait à un plan B après la fermeture du bureau de poste. Nous avons confirmé notre position qui était de défendre jusqu’au bout notre opposition à la fermeture, une position partagé par toute les participants, le maire de Boissy s’est alors rangé de notre côté, et nous l’en remercions. Nous remercions également l’ensemble des Boisséennes et Boisséens qui se sont mobilisé durant toute cette période.