Le président de l’association des commerçants de Boissy rejoint notre équipe

Commerçant à votre service depuis plus de 25 ans à Boissy-Saint-Léger, je n’ai jamais ressenti le besoin de m’investir dans la vie politique jusqu’à ce jour. Mais les commerçants subissent les décisions des différentes équipes municipales. Contribuables comme vous, ils sont au même titre que les bénévoles associatifs, le coeur et le moteur d’une ville. Pourquoi devrions-nous subir les décisions politiques et nous taire lorsque l’avenir de la ville est en jeu ? C’est pour être acteur de la réussite de nos commerces que je me suis investi dans l’association des commerçants de Boissy pour en devenir le président. Depuis que nous avons relancé l’association en avril 2019, nous avons obtenu de belles réussites. Nos actions ont permis de nous faire connaitre et d’augmenter la fréquentation dans nos enseignes permettant d’envisager de les rendre enfin pérennes. Et je suis fier d’avoir contribué à la réouverture prochaine de la librairie de la rue de Paris. C’est un projet auquel je tenais, persuadé que la librairie est un moteur important pour notre centre-ville et surtout un accès à l’information et à la culture indispensable aux Boisséens. Mais je suis conscient également qu’aujourd’hui si on veut aller plus loin pour améliorer la situation du commerce à Boissy, il faut compter sur une équipe municipale engagée à 100 % dans cet objectif. Si je m’engage aux côtés de Laure, c’est que je suis convaincu qu’elle porte un véritable projet pour la dynamisation du commerce de proximité dans notre ville. Elle apporte une vision nouvelle et des éclairages intéressants du fait de ses responsabilités professionnelles auprès d’élus locaux. En même temps, elle est très à l’écoute des spécificités Boisséennes et de l’Histoire de notre ville. Alors que certains passent leur temps à dire que rien ne va, et d’autres que tout va bien, Laure THIBAULT regarde la situation avec lucidité et met un point d’honneur à mettre en avant les atouts de la ville et les perspectives d’évolution. Stéphane SUIR

Engagés auprès des parents et enseignants contre la fermeture d’une classe de 4e au collège Blaise Cendrars

Parents et enseignants mobilisés pour la réussite de nos enfants et contre la fermeture d’une classe de 4e au collège Blaise Cendrars, annoncée en catimini le dernier jour des cours en juillet 2019. Classes surchargées, fratries séparées cette dégradation des conditions d’enseignement n’est pas acceptable. Quel intérêt de dédoubler les classes en CP et CE1 dans les écoles du réseau d’éducation prioritaire, si dans le même temps, on dégrade les conditions d’éducation de nos jeunes collégiens ? L’Education nationale a beau jeu de parler, dans une formule fourre-tout d’une rare hypocrisie, « d’une répartition des moyens au regard de la situation dans un souci d’équité ». Derrière ces mots, il y a des enfants, leurs parents et leurs enseignants. Nos enfants méritent mieux que ces décisions qui conduisent à déshabiller Paul pour habiller Pierre ! Nous avions tenu au matin du 6 septembre 2019 à apporter notre soutien aux enseignants et aux parents qui, dans ce contexte, s’inquiètent des conditions d’enseignement des enfants. Un combat qui a porté ses fruits Le 10 septembre, nous apprenions que le collège Blaise Cendrars pourra finalement garder ses 4 classes de 4e cette année. Une très bonne nouvelle pour les enfants, leurs parents et leurs enseignants. Malgré une rentrée mouvementée, qui aurait pu être évitée si l’éducation nationale avait écouté les mises en garde des enseignants et des élus dès le mois de juillet dernier, l’année scolaire devrait donc se dérouler sereinement. Félicitations aux enseignants et aux parents mobilisés pour défendre cette classe que nous avons pu rencontrer ces derniers jours. Leur détermination a payé. Merci à notre conseiller départemental Pierre-Jean Gravelle (LR) d’avoir saisi l’Inspection d’Académie en juillet, dès qu’il a eu connaissance de l’information.

Chantier éducatif pour les jeunes : Une riche idée à faire perdurer à Boissy !

Bravo et merci aux jeunes Boisséens du chantier éducatif qui sont rafraichi la peinture du centre social Michel-Catonné début juillet 2019. Créé dans les années 80, le chantier éducatif jeune est un outil éducatif qui vise à impliquer un groupe de jeunes dans une activité de production ou de services. Il est destiné confronter le jeune au monde du travail et à l’aider à se réinsérer grâce à une expérience professionnelle. Les freins à l’emploi sont identifiés, le jeune est orienté vers les services compétents. Ce dispositif permet également de créer du lien social entre les jeunes et les adultes du chantier. Une démarche de prévention et de médiation est aussi initiée par les éducateurs qui encadrent le chantier. Enfin le chantier éducatif permet de valoriser l’image du jeune : il reprend confiance en lui, développe un savoir-faire, obtient une reconnaissance, et son image est aussi valorisée dans sa commune. Une belle initiative que nous devons soutenir et faire perdurer !

Engagés contre la fermeture d’une classe à l’école maternelle Amédée Dunois

Le 4 juin 2019, notre école maternelle Amédée Dunois avait besoin du soutien de tous les parents d’élèves. En effet, une fermeture de classe de maternelle menaçait la rentrée 2019-2020. En juin dernier, 87 élèves étaient inscrit pour 4 classes. Passé sous la barre de 90 élèves, c’est une fermeture probable. Malheureusement, ne sont pas pris en compte dans ces effectifs les nouveaux arrivants des programmes neufs de la rue de Paris sectorisés à Amédée Dunois et les dérogations pour le regroupement des fratries sectorisés à Savereau. Les parents d’élèves appelaient à une mobilisation le JEUDI 6 JUIN dès 8h20 à l’école maternelle Amédée Dunois et nous leur avons apporté notre soutien total. Suite à cette mobilisation, l’Education Nationale est revenue sur sa décision permettant de sauver cette classe. Bravo à tous les participants !

Insécurité à la Haie Griselle : engagés auprès des mamans de Boissy

Le 1er juin 2019, les mamans de la Haie Griselle, soutenues par celles d’autres villes, ont défilé pour dire non à la violence. En tête de cortège, à visage découvert et avec beaucoup d’amour, de courage et de fierté, elles ont souhaité envoyer un message fort pour que cessent les violences dans le quartier de la Haie Griselle, ce quartier qu’elles aiment et que nous aimons. Nous étions présents pour témoigner de notre soutien à ces mères courage qui se lèvent pour que le quartier retrouve son calme. Bravo à elles pour cette belle initiative que chacun se doit de soutenir.

Insécurité à la Haie Griselle : le maire confisque le débat aux riverains !

Après les coups de feu qui ont frappé le quartier, le maire et le conseil municipal, réunis en conclave un dimanche soir, avaient décidé d’organiser un conseil municipal exceptionnel pour débattre sur la sécurité. Il n’aura pas lieu ! A la place, une parodie de débat s’est tenue hier soir au conseil municipal suite à un vœu proposé par le maire tard dans la soirée, demandant des moyens supplémentaires pour le commissariat de Boissy. Rien de nouveau donc puisque cela a déjà été demandé dans un courrier au Préfet, un communiqué de presse, une petite marche et lors de la récente visite du Préfet. Le débat avec les citoyens ? Circulez, il n’y a rien à voir ! Selon le maire, la sécurité est uniquement l’affaire de l’Etat, point barre ! Son argument : « hors de question que les Boisséens paient le désengagement de l’Etat ». Pourtant dans le même conseil municipal, il crée une agence postale communale pour pallier le choix absurde et unilatéral du groupe La Poste de fermer le bureau annexe de L’Orangerie. Cohérence ? Bref, s’est tenu hier un semblant de débat digne du Grand débat national, dont on connaissait les conclusions avant même qu’il ne commence ! Nous regrettons que les habitants de la Haie Griselle soient privés de la parole sur cette question qui les concerne et que le maire se soit contenté d’une marche, d’une visite avec le Préfet et d’une réunion avec la commissaire autour de gens triés sur le volet ! C’est un rendez-vous manqué avec la population de la Haie Griselle et bien au-delà qui ne demandent qu’à vivre en sécurité. Mais quoi d’étonnant quand on sait que le maire a récemment dénoncé une forme de « psychose chez les habitants » dans un article du Parisien (20 mai 2019) consacré à l’enfer des riverains après les fusillades à la Haie Griselle ? Non seulement ses propos sont blessants mais ils sont avant tout méprisants face à la peur justifiée des riverains ! Si le débat devra être impérativement engagé pour mettre en place des actions concrètes afin de sécuriser le quotidien des Boisséeens, nous devons tous, et en priorité les responsables politiques, leur apporter avant tout une solidarité collective sans faille en respect à leurs souffrances. Nous ne tolèrerons jamais qu’un élu, qui plus est responsable de la sécurité de sa ville, se permette de culpabiliser des riverains victimes de cette situation qui sont en droit d’exprimer leurs peurs et d’exiger un cadre de vie digne et sécurisé. Nous constatons avec regret qu’à l’approche des élections municipales, et comme par le passé, des élus de la majorité municipale s’éloignent soudainement du maire en place en tentant de se racheter une nouvelle virginité sur le dos des citoyens alors qu’ils sont comptables de toutes les orientations politiques qui ont conduit à cette situation. Ces tentatives perpétuelles d’insulter l’intelligence des Boisséens ne sont pas dignes de leur statut d’élu. Pendant que certains élus se contentent de venir faire un petit tour à la Haie Griselle pour apparaitre sur des photos, les membres de l’association Engagés pour Boissy sont tous mobilisés et participent actuellement à des initiatives citoyennes à la Haie Griselle. Lors d’une réunion avec des riverains, j’ai proposé aux associations présentes d’exiger que la cellule psychologique soit accessible au cœur de notre quartier et non pas à l’hôpital Henri Mondor à Créteil et qu’un accompagnement soit effectué dans les écoles du quartier afin que les enfants puissent bénéficier d’une réelle prise en charge. Toute l’équipe d’Engagés pour Boissy apporte son soutien sans faille aux riverains de la Haie Griselle, beaucoup d’entre nous étant concernés directement puisque résidant dans ce quartier qui mérite beaucoup mieux que cette réputation de « psychose chez les habitants ».

Réunion publique Haie Griselle : Insécurité et Charmeraie

Vendredi 14 décembre 2018, nous étions présents à la réunion publique place du Forum. Nous resterons attentif au bon déroulement du projet de la Charmeraie qui permettra, si les moyens sont au rendez-vous, de redynamiser le quartier de la Haie Griselle. De nombreuses questions des riverains ont permis d’aborder plusieurs sujets comme par exemple l’impact des nouveaux arrivants sur les places en crèche et en école ainsi que la circulation des véhicules prévue au sein même du quartier, des problématiques qui mériteront une attention particulière. Nous avons été particulièrement touchés quant à la détresse exprimée par des riverains qui se sentent abandonnés depuis bien trop longtemps sur des sujets comme la sécurité, les incivilités ou la propreté, rendant leur quotidien parfois invivable et renvoyant une image négative de la Haie Griselle au détriment de ses riverains.

Projet de prison ouverte à Limeil-Brévannes : l’Etat interdit aux citoyens de s’exprimer !

Encore une fois, la politique du « et en même temps » chère à E. Macron frappe notre territoire. Alors qu’il lance devant les caméras son grand débat national pour tenter de calmer la colère des gilets jaunes, l’Etat refuse que la ville de Limeil-Brévannes organise un référendum pour recueillir l’avis des Brévannais sur ce projet de prison semi-ouverte qu’on leur impose. Cette décision est inacceptable et témoigne du mépris du « nouveau monde » envers les citoyens ! Avec « En Marche » on peut débattre de thèmes imposés, décidés par l’Elysée. Mais débattre de l’avenir de nos territoires et de notre qualité de vie c’est non ! A quoi bon multiplier les débats comme le font les députés « En Marche » et notamment celui de la 3e circonscription du Val-de-Marne quand on refuse la parole aux habitants sur une question aussi importante pour l’avenir de leur ville ? Comment croire, dans ces conditions, à la sincérité de ce grand débat national ?

Le projet de prison à Noiseau, un impact incertain sur notre cadre de vie à Boissy

Alors que notre mobilisation contre le projet de prison à Limeil-Brévannes s’est achevée par une victoire contre l’Etat, celui chez nos voisins de Noiseau est toujours d’actualité. La question n’est pas de savoir si l’on est pour ou contre l’implantation de nouvelles prisons. La question c’est pourquoi implanter cette prison sur des terres agricoles cultivées, sur des terrains qui n’appartiennent pas à l’Etat et dans un secteur sans infrastructures de transports majeures ; alors même que ce secteur fait l’objet d’un projet d’agro-quartier mêlant logements et activités économiques ? Nos droits bafoués, notre voix ignorée Le Gouvernement défend ce choix en prétextant le respect des droits des 800 prisonniers prévus dans cette prison et notamment du droit à résider proche de chez eux. Qu’en est-il des droits des 4 700 Noiséens et des nombreux Boisséens honnêtes qui se sont installés dans ce secteur pour vivre en paix ? Qu’en est-il de la démocratie quand le gouvernement, contrairement à ses premiers engagements, impose un tel projet contre la volonté de l’ensemble de la population et des élus locaux ? Qu’en est-il surtout du droit des prisonniers quand l’Etat remet toujours à plus tard la réhabilitation de la prison de Fresnes ? Une saturation des transports à prévoir sur la commune de Boissy 800 prisonniers, ce sont 800 familles susceptibles de leur rendre visite. Qu’en est-il des infrastructures de transports ? L’axe routier depuis la N4 qui traverse Noiseau et ensuite Boissy-Saint-Léger via la rue de Sucy entre le Bois Clary et la N19, subira automatiquement une augmentation très importante du trafic, tout autant que les transports en commun depuis notre gare RER A. À cela, se rajoute des projets de logements sociaux et de fonction à Noiseau, une population nouvelle qui utilisera également les infrastructures de transports déjà saturées. Le Val-de-Marne ne doit pas être le seul département de toutes les solidarités Notre département contribue largement à la politique carcérale française avec Fresnes, deuxième plus grande prison de France (1 700 places) dont on nous promet depuis trop longtemps la réhabilitation. Le Gouvernement fait subir au val-de-marnais une double peine en lui imposant 30% des nouvelles places de prisons de la région tout en lui refusant de bénéficier de nouvelles infrastructures sportives liées à l’organisation des futurs Jeux Olympiques. Alors que d’autres communes de France sont demandeuses de projets pénitenciers, le Gouvernement impose ses choix sans concertations avec nos élus locaux, mettant en péril des projets de développement écologiques et économiques vitaux pour notre territoire. Le Val-de-Marne n’est pas le territoire servant de Paris ! Paris compte plus de 2 millions d’habitants avec une prison de 800 places (la Santé). Le Val-de-Marne compte 1,4 millions d’habitants avec déjà une prison,de 1 700 places (Fresnes) et l’Etat voudrait imposer une nouvelle prison de 800 places ? Pourtant, il reste de le place à côté du nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris, mais peut-être qu’une prison ferait tâche dans ce nouveau quartier chic des Batignolles. Pourquoi notre département devrait accueillir 3 fois plus de places de prison que Paris ? De quel droit sacrifie-t-on encore le Val-de-Marne ? Pour nous les Jeux Olympiques C’EST NON mais les prisons C’EST OUI ! Ça suffit !!!

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