Rodéos sauvages, crèche départementale, suppression du vide-grenier à Boissy

Madame, Monsieur, Chers Boisséens, Depuis 2 ans, nous portons votre voix au Conseil municipal. Nous soutenons les projets qui vont dans le bon sens pour notre commune et nous opposons à ceux qui représentent un danger pour notre cadre de vie, comme l’urbanisation massive ou le manque d’ambition en termes de sécurité. Ce mois-ci nous avons décidé de revisiter l’actualité boisséenne à travers 3 évènements marquants. On n’aime pas : le retour des rodéos sauvages Lors du Conseil municipal du 24 mai, nous avons alerté le Maire sur l’augmentation des rodéos-sauvages à la Haie Griselle. Depuis le début des beaux jours, le ballet incessant de ces bolides bruyants et dangereux vient perturber la tranquillité des habitants du quartier. Que n’avions-nous pas dit ? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles selon la formule consacrée. Malheureusement, dans les jours qui ont suivi, l’actualité nous a donné raison et un enfant a été percuté par une moto. Nous nous réjouissons que l’enfant soit sain et sauf, que les auteurs aient été arrêtés et la moto saisie. Mais cette moto circulait depuis plusieurs semaines et il aura fallu attendre un accident pour qu’elle disparaisse du paysage… dommage. On aime : l’ouverture en 2024 d’une crèche départementale pour Limeil-Brévannes et Boissy-Saint-Léger C’est le 23 mai dernier que la 1ère pierre de la nouvelle crèche de 60 berceaux, entièrement financée par le Département, a été posée. Une bonne nouvelle pour les petits Brévannais & Boisséens qui pourront profiter d’un établissement totalement pensé pour leur confort et leur éveil. Située à Limeil, dans le quartier de la Hêtraie, cette crèche accueillera 20 bébés Boisséens dès janvier 2024 ! On n’aime pas : la suppression de l’édition 2022 du vide grenier Comme vous, nous nous réjouissions de pouvoir nous retrouver lors du traditionnel vide-grenier habituellement organisé en juin, rue de Paris. Alors que toutes les communes alentours organisent un évènement comme celui-ci, notre ville se démarque une fois de plus et décide d’y renoncer pour cette année au moins… Quel dommage alors que nous sortons de deux ans de pandémie et que la convivialité et le vivre-ensemble nous ont tant manqué !

Un jeune garçon percuté par une moto à Boissy-Saint-Léger

J’apprends par la presse qu’un petit garçon de 7 ans a été percuté par une moto dans le quartier de la Haie Griselle. Mes premiers mots vont d’abord à sa famille. Je me réjouis qu’il ne soit pas blessé et espère qu’il va bien et qu’il ne sera pas trop traumatisé par cet événement qui n’est pas normal pour un petit garçon de son âge qui jouait en toute insouciance dans son quartier. Je suis en colère ! En colère parce que pas plus tard que mardi dernier en conseil municipal, j’ai alerté le maire sur la multiplication des rodéos moto dans notre quartier, sur leur dangerosité et sur le fait qu’un accident pouvait arriver à tout moment. En colère parce que cette alerte n’a pas été entendue et que le maire m’a répondu que tout allait bien dans le quartier et que la sécurité s’améliorait… ne m’en déplaise ! En colère parce que ce n’est pas la première fois que cette question des motos ou des scooters qui roulent à vive allure dans notre quartier est abordée. En colère parce que ces phénomènes sont quasiment quotidiens dans notre quartier. Personne ne peut l’ignorer. En colère de voir que dans certaines communes, les maires prennent ce problème à bras le corps et que les polices municipales sont des acteurs majeurs et actifs pour lutter contre ces phénomènes aux côtés de la police nationale. Je suis en colère parce que je sais que d’autres accidents de ce type interviendront, que des enfants, des seniors ou même des animaux seront renversés et que la réponse du Maire sera toujours la même : circulez, tout va bien ! Laure THIBAULT

Messages de menaces à l’encontre des agents du commissariat de Boissy

Soutien aux agents du commissariat de police de Boissy qui ont fait l’objet de menaces hier. Aux policiers, gendarmes, pompiers et à tous ceux qui nous protègent au quotidien, qui sont particulièrement sollicités depuis plusieurs années et qui font face à la multiplication inacceptable des actes de violences à leur encontre, merci !

STOP au harcèlement à l’école !

TF1 diffusait lundi l’histoire puis le témoignage du jeune Jonathan DESTIN, qui s’est immolé par le feu suite au harcèlement scolaire dont il était victime. En cette journée contre le harcèlement scolaire, nous souhaitons rappeler qu’environ « un enfant sur dix » est victime de harcèlement scolaire (12% en primaire, 10% au collège et 3 ou 4% au lycée). Trop souvent, des faits divers nous rappellent que le harcèlement scolaire peut briser des vies et des familles. Tout doit être mis en œuvre, à tous les niveaux, pour que ce fléau soit enfin éradiqué ! Il est donc temps de réunir l’ensemble des acteurs autour de la table, de dresser un bilan des différentes politiques publiques menées à ce sujet et de décider ensemble des solutions à mettre en œuvre pour améliorer la situation. Parce que nous sommes tous responsables quand il s’agit de la protection et de l’avenir de nos enfants, il est temps de s’engager contre le harcèlement à l’école dans toutes les écoles et notamment à Boissy-Saint-Léger.

«Ça va ?» : la nouvelle campagne choc contre les violences faites aux enfants

Ça va Paul ? Oui ça va En réalité, comme des milliers d’enfants, Paul est victime de violences. Et comme des milliers d’enfants, il ne parle pas. Combien de Paul nous disent un « ça va de façade » ? En France, un enfant meurt tous les cinq jours sous les coups d’un adulte. C’est ce que nous rappelle l’association Enfance & Partage dans ce clip choc. Famille proche, famille élargie, voisins, communauté éducative… confrontés ou préoccupés par une situation d’enfant en danger ou risquant de l’être, appelez le 119 avant qu’il ne soit trop tard, c’est le numéro national dédié à la prévention et à la protection des enfants en danger ou contactez les associations dédiées.

Nouveaux coups de feu à Boissy-Saint-Léger : une situation alarmante !

Pour la seconde fois en trois jours, le quartier de la Haie Griselle est la cible d’affrontements et de règlements de compte. Nous déplorons cette situation et apportons tout notre soutien aux habitants du quartier. Cela ne peut plus durer. Il est temps que le maire de Boissy s’attache enfin à assurer la sécurité des Boisséens ! Comment peut-il prétendre aujourd’hui auprès des médias que le quartier de la Haie Griselle « était pourtant calme ces derniers temps » alors que lors de la réunion publique de ce même quartier le 14 décembre dernier, des riverains ont témoigné qu’ils étaient régulièrement menacés et qu’ils avaient peur de sortir de chez eux ? Alors que la situation est grave, la seule réponse apportée par la mairie consiste à rajouter 5 caméras (avec qui derrière ?) et des médiateurs. Qui peut croire que cela est suffisant face à des personnes déterminées et pour certaines d’entre elles armées ? Doit-on attendre qu’une balle perdue blesse un riverain, voire pire, pour que le maire cesse enfin de minimiser la situation ? Il est urgent de sortir de l’angélisme et d’apporter une réponse forte en renforçant les moyens et les effectifs de la police municipale. Comment peut-on imaginer que la sécurité des Boisséens soit assurée alors que la police municipale est ouverte que de 9h00 à 17h00 du lundi au vendredi et que les agents ne sont équipés que de taser ? Par ailleurs, nous demandons également un renforcement des moyens et des effectifs de la police nationale afin d’assurer la sécurité de nos concitoyens.

Insécurité à Boissy : stop à la démagogie, la peur doit changer de camps !

Alors que des riverains de la Haie Griselle dénonçaient une fois de plus une fusillade dernièrement, des élus et responsables politiques se contentent de proposer une pétition. Stop à la démagogie ! Après les propositions sous dimensionnées du maire de Boissy (médiateurs, quelques caméras sans personne derrière, drone), une certaine intelligentsia politique qui s’oppose soi-disant au maire depuis tant d’années n’a eu d’autre proposition que de vouloir faire circuler une pétition faisant croire aux citoyens de son utilité pour régler le problème. Cette idée est bien loin, voire très loin de pouvoir répondre aux problématiques actuelles. Que des citoyens exaspérés puissent le penser c’est tout à fait légitime, par contre que certains élus ou responsables politiques le laissent croire est d’une rare démagogie, aussi scandaleuse que l’angélisme et le laxisme du maire. Une pétition pour quoi faire ? Adressée à qui ? Pour demander quoi ? Face à des délinquants armés et déterminés, pensent-ils vraiment qu’une pétition fera le poids ? Et quand un habitant, adulte ou enfant se prendra une balle perdue, on allumera des bougies, on déposera des fleurs et on fera une marche blanche ? Pour recommencer ensuite par une autre pétition ? L’inaction du maire exaspère les Boisséens ! Les Boisséens ont des raisons d’être en colère. Des années que tout ce petit monde se voile la face, laissant même le maire dire en plein conseil municipal que lorsque le BAC fait un passage dans la Haie Griselle, c’est de la provocation. Lors de la dernière réunion de quartier, pas un membre de l’opposition pour s’offusquer de la réaction du maire « c’est pas de ma responsabilité, je vais voir avec le bailleur » face à la détresse d’une maman qui témoigne de ses vives inquiétudes pour la sécurité de ses enfants. Personne pour reprendre le maire quand il dit que ce n’est pas sa faute, qu’il n’a rien vu, rien entendu et que notre ville est calme. Et personne encore pour s’offusquer de la réaction du maire face à la multiplication des coups de feu qui invite les habitants au calme et à laisser faire la justice en conseil municipal. Le maire doit rendre des comptes S’il fallait entamer une action dès à présent, plutôt qu’une pétition, nous proposons que les habitants de la Haie Griselle se déplacent massivement au prochain conseil municipal pour exiger que le maire rende des comptes… nous verrons si face à la colère il continuera à dire « qu’il faut rester calme » ! Le commissariat de Boissy fait ce qu’il peut La police nationale est parfaitement consciente de la situation, ils font ce qu’ils peuvent et Boissy fait partie des villes où en mars dernier, il y a eu le plus d’infractions constatées pour usage et revente de stupéfiants. Mais la police nationale à elle seule ne peut plus tout. Et elle ne peut surtout pas grand-chose si le personnel politique achète la paix sociale en laissant faire. La peur doit changer de camps Il est temps, à Boissy, de mener une politique de tolérance zéro vis-à-vis des dealeurs et renforcer ainsi le travail de la police nationale. Notre ville doit faire plus en termes de tranquillité publique et la peur doit changer de camps. Certaines villes, pas très loin de nous, mettent place des actions ultra dissuasives et une pression incessante sur les dealers, verbalisés par exemple sans arrêt par la police municipale pour des infractions mineures. Le sentiment d’impunité commence lorsqu’il n’y a aucune sanction pour des incivilités mineures. Il est donc urgent d’augmenter les effectifs de la police municipale et de leur donner les moyens d’agir, y compris à la Haie Griselle, car en République, il n’y a pas de zone de non-droit. Il faut également travailler de concert avec les bailleurs afin d’isoler les quelques personnes qui perturbent la vie du quartier à elle seule, responsabiliser les parents, travailler avec les éducateurs de rues, proposer des contreparties à nos jeunes en situation de décrochage… Bien entendu, il ne faut pas oublier l’importance du travail de terrain toute l’année des associations et des initiatives citoyennes en les accompagnant et les renforçant dans leurs actions.

Sauvons celles qui sont encore vivantes

Une manifestation était organisée cet après-midi à Paris par Muriel Robin, Eva Darlan et de nombreuses célébrités et associations qui luttent contre les violences conjugales afin de demander au Gouvernement plus de moyens pour ces femmes et parfois ces hommes qui sont victimes de violences au sein de leur couple. Avec toute l’équipe « Engagés pour Boissy », nous apportons notre soutien à cette mobilisation afin que les pouvoirs publics prennent consciences de l’urgence de cette cause qui touche de nombreuses femmes également à Boissy-Saint-Léger.

Boissy-Saint-Léger : des véhicules incendiés après la finale de la Coupe du Monde

C’est dans le quartier de La Haie-Griselle à Boissy-Saint-Léger qu’il y a eu, semble-t-il, le plus d’incidents recensés. Dans la nuit de samedi à dimanche, deux jeunes ont ainsi été interpellés pour des menaces de mort sur un policier en faction. Une insulte qui survenait alors que le commissariat avait été la cible de projectiles, notamment des cocktails-molotov, tout au long de la soirée. Il est regrettable que notre ville de Boissy-Saint-Léger fasse une fois de plus la une des journaux pour des faits divers, cela doit cesser ! Voir l’article du Parisien

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