Quartier de la gare : combien de temps encore allons-nous fermer les yeux ?

Le quartier de la gare est aujourd’hui un point névralgique, un lieu de passage quotidien pour des centaines d’habitants, commerçants et usagers des transports. Pourtant, il est aussi devenu un symbole du laisser-faire municipal, un espace où l’anarchie s’installe au détriment de la sécurité et de la qualité de vie de tous. Vous êtes nombreux à nous faire part de votre exaspération face à une situation qui se dégrade jour après jour : Comment accepter que cette entrée de ville, vitrine de Boissy, soit aujourd’hui laissée à l’abandon ? Pourquoi la municipalité reste-t-elle silencieuse alors que la colère gronde ? Une pétition citoyenne, lancée par un habitant du quartier, a déjà rassemblé près de 600 signatures. Pourtant, la mairie reste sourde à cet appel, prisonnière de son dogmatisme et de son inaction. Nous ne sommes malheureusement pas surpris. Le maire de Boissy théorise une prétendue « sécurité passive », qui n’est en réalité qu’une sécurité passoire. Trop habitué à se défausser sur l’État, il refuse d’agir, comme si la sécurité des Boisséens ne le concernait pas. Il est vrai que la sécurité est une mission régalienne de l’État. Mais certains maires prennent leurs responsabilités et complètent l’action des forces nationales en mettant en place des dispositifs locaux efficaces : police municipale renforcée, vidéoprotection… Autant de solutions que d’autres villes ont su mettre en place et qui portent leurs fruits. Ce qui est possible ailleurs l’est aussi à Boissy. Il ne manque qu’une chose : la volonté politique d’agir.Nous refusons de nous résigner et nous continuons à porter la voix de ceux qui exigent une ville plus sûre, plus propre et plus dynamique. Il est temps d’exiger des actes et de mettre un terme à l’inaction municipale et à l’autosatisfaction.
Bilan de l’été 2024 à Boissy-Saint-Léger

Fini les vacances, on ressort les cartables et les cahiers pour retrouver les bancs de l’école. Aux enfants et à leurs parents, nous souhaitons une belle rentrée ! Une année pleine de sérénité, d’épanouissement et de réussite. Pour la rentrée, nous souhaitons vous parler de 3 actualités qui ont retenu notre attention cet été. On a aimé : le passage de la flamme olympique au domaine de Grosbois A l’initiative du Département du Val-de-Marne, la flamme Olympique a traversé notre département le 21 juillet dernier et notre ville a pu en profiter. La flamme a fait un arrêt remarqué au domaine de Grosbois. Un moment historique rempli de joie et de ferveur populaire dont nous nous souviendrons tous très longtemps. À toutes les villes, agents municipaux et départementaux, associations, clubs sportifs, comités et fédérations, bénévoles, forces de sécurité…, un grand merci ! Un beau travail d’équipe, qui a préfiguré une belle fête olympique ! On n’aime pas : les tirs de mortiers et les rodéos sauvages Il y avait le 28 juillet dernier, au gymnase Maurice Préault, un tournoi de football inter-quartier. Bien-sûr, on aime que les jeunes se regroupent autour du sport et de ses valeurs, qu’ils s’amusent et profitent de moments joyeux pendant l’été. C’est une évidence. Cependant, nous ne pouvons pas cautionner que ces moments de joie, surtout lorsqu’ils se déroulent dans un équipement municipal, entrainent des désagréments importants pour le reste des habitants du quartier. Les tirs de mortiers ou les rodéos-sauvages qui ont eu lieu pendant plusieurs heures ce jour-là n’ont pas leur place dans ces évènements festifs. On n’aime pas : le stationnement anarchique Bd de la Gare Tous les soirs, c’est la même chose : des voitures garées en double file sur le boulevard de la gare pour récupérer les commandes ou les sorties de RER. Cette situation perturbe la circulation et met en danger les automobilistes, obligés de se déporter sur la voie de circulation opposée. Elle est d’autant plus incompréhensible qu’il existe un parking gratuit (1h) à quelques mètres. Ces deux situations que nous dénonçons et qui ne sont que des exemples parmi d’autres sont les conséquences d’une politique laxiste de la majorité municipale en matière de sécurité. Pas surprenant pour un maire qui a théorisé le concept de « sécurité passive » ou en réalité de sécurité passoire !
L’inaction de la mairie face à la dégradation du quartier de la gare

De nombreux riverains et commerçants tirent la sonnette d’alarme depuis des mois face à la situation déplorable qui règne autour du quartier de la gare. Incivilités, trafic et consommation de drogues en plein jour, vendeurs à la sauvette et poubelles jonchant les trottoirs… la situation ne cesse de se dégrader, impactant la qualité de vie des habitants et l’activité des commerces locaux. Malgré les plaintes répétées des résidents et des commerçants, la mairie reste étonnamment passive, sans mettre en place les mesures nécessaires pour endiguer ce fléau. Le manque de sécurité et l’absence de réponse concrète des autorités municipales laissent les citoyens dans un climat d’inquiétude et d’exaspération croissante. Il est grand temps que la municipalité prenne ses responsabilités et agisse pour restaurer l’ordre et la propreté dans ce quartier stratégique de notre ville. Le vivre-ensemble ne peut prospérer dans un tel environnement de laisser-aller. Les commerçants et habitants demandent des solutions immédiates : un renforcement de la présence policière, la mise en place de caméras de surveillance et une gestion rigoureuse de la propreté des lieux. Face à l’inaction de la mairie, il est plus que jamais urgent de passer à l’action pour redonner à ce quartier la tranquillité et la dignité qu’il mérite.
Rodéos sauvages, crèche départementale, suppression du vide-grenier à Boissy

Madame, Monsieur, Chers Boisséens, Depuis 2 ans, nous portons votre voix au Conseil municipal. Nous soutenons les projets qui vont dans le bon sens pour notre commune et nous opposons à ceux qui représentent un danger pour notre cadre de vie, comme l’urbanisation massive ou le manque d’ambition en termes de sécurité. Ce mois-ci nous avons décidé de revisiter l’actualité boisséenne à travers 3 évènements marquants. On n’aime pas : le retour des rodéos sauvages Lors du Conseil municipal du 24 mai, nous avons alerté le Maire sur l’augmentation des rodéos-sauvages à la Haie Griselle. Depuis le début des beaux jours, le ballet incessant de ces bolides bruyants et dangereux vient perturber la tranquillité des habitants du quartier. Que n’avions-nous pas dit ? Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles selon la formule consacrée. Malheureusement, dans les jours qui ont suivi, l’actualité nous a donné raison et un enfant a été percuté par une moto. Nous nous réjouissons que l’enfant soit sain et sauf, que les auteurs aient été arrêtés et la moto saisie. Mais cette moto circulait depuis plusieurs semaines et il aura fallu attendre un accident pour qu’elle disparaisse du paysage… dommage. On aime : l’ouverture en 2024 d’une crèche départementale pour Limeil-Brévannes et Boissy-Saint-Léger C’est le 23 mai dernier que la 1ère pierre de la nouvelle crèche de 60 berceaux, entièrement financée par le Département, a été posée. Une bonne nouvelle pour les petits Brévannais & Boisséens qui pourront profiter d’un établissement totalement pensé pour leur confort et leur éveil. Située à Limeil, dans le quartier de la Hêtraie, cette crèche accueillera 20 bébés Boisséens dès janvier 2024 ! On n’aime pas : la suppression de l’édition 2022 du vide grenier Comme vous, nous nous réjouissions de pouvoir nous retrouver lors du traditionnel vide-grenier habituellement organisé en juin, rue de Paris. Alors que toutes les communes alentours organisent un évènement comme celui-ci, notre ville se démarque une fois de plus et décide d’y renoncer pour cette année au moins… Quel dommage alors que nous sortons de deux ans de pandémie et que la convivialité et le vivre-ensemble nous ont tant manqué !
Un jeune garçon percuté par une moto à Boissy-Saint-Léger

J’apprends par la presse qu’un petit garçon de 7 ans a été percuté par une moto dans le quartier de la Haie Griselle. Mes premiers mots vont d’abord à sa famille. Je me réjouis qu’il ne soit pas blessé et espère qu’il va bien et qu’il ne sera pas trop traumatisé par cet événement qui n’est pas normal pour un petit garçon de son âge qui jouait en toute insouciance dans son quartier. Je suis en colère ! En colère parce que pas plus tard que mardi dernier en conseil municipal, j’ai alerté le maire sur la multiplication des rodéos moto dans notre quartier, sur leur dangerosité et sur le fait qu’un accident pouvait arriver à tout moment. En colère parce que cette alerte n’a pas été entendue et que le maire m’a répondu que tout allait bien dans le quartier et que la sécurité s’améliorait… ne m’en déplaise ! En colère parce que ce n’est pas la première fois que cette question des motos ou des scooters qui roulent à vive allure dans notre quartier est abordée. En colère parce que ces phénomènes sont quasiment quotidiens dans notre quartier. Personne ne peut l’ignorer. En colère de voir que dans certaines communes, les maires prennent ce problème à bras le corps et que les polices municipales sont des acteurs majeurs et actifs pour lutter contre ces phénomènes aux côtés de la police nationale. Je suis en colère parce que je sais que d’autres accidents de ce type interviendront, que des enfants, des seniors ou même des animaux seront renversés et que la réponse du Maire sera toujours la même : circulez, tout va bien ! Laure THIBAULT
Messages de menaces à l’encontre des agents du commissariat de Boissy

Soutien aux agents du commissariat de police de Boissy qui ont fait l’objet de menaces hier. Aux policiers, gendarmes, pompiers et à tous ceux qui nous protègent au quotidien, qui sont particulièrement sollicités depuis plusieurs années et qui font face à la multiplication inacceptable des actes de violences à leur encontre, merci !
Lutte contre les violences faites aux femmes, le 3919 en sursis !

Depuis des années, associations de lutte contre les violences faites aux femmes, pouvoirs publics et élus multiplient les communications pour faire connaitre le 3919, ligne d’écoute gérée par du personnel formé. Le projet du gouvernement de mise en concurrence de cette ligne, qui pouvait également aller jusqu’à un changement de numéro et de marketing, n’était pas entendable. Cette marche arrière est une bonne nouvelle qui doit se traduire par un discussion constructive avec Solidarité Femmes, gestionnaire de la plate-forme et plus de moyens pour ce dispositif afin que l’accueil soit effectif 7/7 – 24/24 ! L’association y est prête. La balle est donc dans le camp de l’Etat.
STOP au harcèlement à l’école !

TF1 diffusait lundi l’histoire puis le témoignage du jeune Jonathan DESTIN, qui s’est immolé par le feu suite au harcèlement scolaire dont il était victime. En cette journée contre le harcèlement scolaire, nous souhaitons rappeler qu’environ « un enfant sur dix » est victime de harcèlement scolaire (12% en primaire, 10% au collège et 3 ou 4% au lycée). Trop souvent, des faits divers nous rappellent que le harcèlement scolaire peut briser des vies et des familles. Tout doit être mis en œuvre, à tous les niveaux, pour que ce fléau soit enfin éradiqué ! Il est donc temps de réunir l’ensemble des acteurs autour de la table, de dresser un bilan des différentes politiques publiques menées à ce sujet et de décider ensemble des solutions à mettre en œuvre pour améliorer la situation. Parce que nous sommes tous responsables quand il s’agit de la protection et de l’avenir de nos enfants, il est temps de s’engager contre le harcèlement à l’école dans toutes les écoles et notamment à Boissy-Saint-Léger.
Violences faites aux femmes : nos propositions d’actions pour Boissy

138 femmes sont mortes, depuis le début de l’année 2019 ! 138 vies brisées, 138 familles détruites. Nous leur devons plus, nous devons faire plus pour toutes celles qui sont en situation de souffrance et de danger. Une proposition de loi a été votée au parlement, à l’initiative du député LR Aurélien Pradie. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour lutter contre ce fléau. Ici à Boissy, je souhaite développer des actions pour qu’à notre niveau, nous participions à la mobilisation contre les violences faites aux femmes : Mise en place d’un groupe de travail spécifiquement dédié aux violences faites aux femmes au sein du Conseil local de la sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD). Création d’une maison des femmes pour assurer aux victimes qui trouvent le courage de parler un accompagnement complet et personnalisé Malheureusement, dans ces situations, ce sont les femmes qui doivent le plus souvent quitter le domicile conjugal. En attendant que la loi s’applique et que les victimes puissent restées chez elle, nous imposerons, dans chaque nouveau programme immobilier, des logements pour les femmes victimes de conjoints violents, et pour leurs enfants afin qu’ils retrouvent au plus vite la stabilité nécessaire pour commencer une nouvelle vie. Information et sensibilisation en direction de tous les élus mais également des agents municipaux susceptibles d’être en contact avec une victime ou volontaires. Chaque 25 novembre pour la journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, nous organiserons une action de sensibilisation et d’information auprès des jeunes et en direction du grand public pour que cette question s’invite dans toutes les consciences. Nous devons agir et nous devons agir vite !
Violences faites aux femmes : nos propositions d’actions pour Boissy

138 femmes sont mortes, depuis le début de l’année 2019 ! 138 vies brisées, 138 familles détruites. Nous leur devons plus, nous devons faire plus pour toutes celles qui sont en situation de souffrance et de danger. Une proposition de loi a été votée au parlement, à l’initiative du député LR Aurélien Pradie. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour lutter contre ce fléau. Ici à Boissy, je souhaite développer des actions pour qu’à notre niveau, nous participions à la mobilisation contre les violences faites aux femmes : Mise en place d’un groupe de travail spécifiquement dédié aux violences faites aux femmes au sein du Conseil local de la sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD). Création d’une maison des femmes pour assurer aux victimes qui trouvent le courage de parler un accompagnement complet et personnalisé Malheureusement, dans ces situations, ce sont les femmes qui doivent le plus souvent quitter le domicile conjugal. En attendant que la loi s’applique et que les victimes puissent restées chez elle, nous imposerons, dans chaque nouveau programme immobilier, des logements pour les femmes victimes de conjoints violents, et pour leurs enfants afin qu’ils retrouvent au plus vite la stabilité nécessaire pour commencer une nouvelle vie. Information et sensibilisation en direction de tous les élus mais également des agents municipaux susceptibles d’être en contact avec une victime ou volontaires. Chaque 25 novembre pour la journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, nous organiserons une action de sensibilisation et d’information auprès des jeunes et en direction du grand public pour que cette question s’invite dans toutes les consciences. Nous devons agir et nous devons agir vite !