Sécurité à Boissy : une urgence ignorée, une priorité pour demain

À Boissy-Saint-Léger, le sentiment d’insécurité est devenu une réalité quotidienne pour de nombreux habitants. Depuis plus de deux ans, nous dénonçons la situation préoccupante du quartier de la gare et de ses environs : Témoignages poignants de riverains Vidéo de terrain largement diffusée Pétition citoyenne signée par des centaines de Boisséens   Et pourtant… aucune réaction du maire, aucune motion, pas même une parole pour les victimes d’incivilités, d’agressions ou d’intimidations. Un silence assourdissant, qui en dit long sur l’abandon ressenti par la population. Et cette insécurité ne touche pas seulement le quartier de la gare : Le centre-ville est lui aussi confronté à des dégradations, des tensions et des incivilités régulières Plusieurs zones pavillonnaires signalent des vols et dégradations en hausse Et bien sûr, la Haie Griselle, haut lieu de trafic de stupéfiants, de tirs de mortiers, de rodéos sauvages, reste laissée à elle-même   Des promesses oubliées, une situation qui se dégrade En 2020, alors candidat à sa réélection, le maire promettait d’étudier l’implantation d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) pour renforcer la sécurité. Qu’en est-il aujourd’hui ? Rien ! Pas de CSU. Pas de plan d’ensemble. Pas de réponse sérieuse face à une situation qui n’a cessé de se détériorer depuis.   Pendant ce temps, les Boisséens vivent dans la peur, l’abandon et l’exaspération.   La sécurité sera une priorité de notre programme 2026 Nous refusons cette résignation. Avec Laure Thibault et notre équipe, nous porterons une ambition claire pour que Boissy redevienne une ville sereine, propre et sûre, dans tous ses quartiers. Déploiement d’une vraie police de proximité du quotidien : présente sur le terrain, visible et à l’écoute des riverains, dans tous les quartiers et tous les jours Création d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) : pour coordonner les interventions, optimiser les moyens, et mieux protéger les habitants Partenariat renforcé avec le commissariat de police nationale : coopération, échanges d’informations, actions conjointes : il faut arrêter de travailler en silo Mise en place d’une brigade verte : pour traquer les incivilités environnementales (dépôts sauvages, tags, dégradations), car propreté et sécurité vont de pair Rétablir une présence municipale là où elle a disparu : Fêtes de quartier, animations, médiation : occuper l’espace, c’est aussi empêcher l’insécurité de s’y installer En attendant 2026, retrouvez nos propositions déjà portées en 2020 sur la sécurité. Et si vous souhaitez contribuer à l’élaboration de notre futur programme, rejoignez-nous dès maintenant. Votre parole est précieuse. Ensemble, faisons de Boissy une ville à la hauteur de ses habitants. Nos propositions Vidéo Quartier de la gare, insécurité, incivilités, insalubrité, promesses non tenues… Pendant que la situation se dégrade, la mairie reste figée dans son idéologie de politique passive. Tiago Martins, père de famille, témoigne avec courage de ce qu’il subit chaque jour depuis son installation à Boissy. Comme lui, nous refusons la résignation. https://engagespourboissy.fr/wp-content/uploads/2025/06/boissy_quartier_gare.mp4

Quartier de la gare : combien de temps encore allons-nous fermer les yeux ?

Le quartier de la gare est aujourd’hui un point névralgique, un lieu de passage quotidien pour des centaines d’habitants, commerçants et usagers des transports. Pourtant, il est aussi devenu un symbole du laisser-faire municipal, un espace où l’anarchie s’installe au détriment de la sécurité et de la qualité de vie de tous.   Vous êtes nombreux à nous faire part de votre exaspération face à une situation qui se dégrade jour après jour : Malgré les plaintes répétées des résidents et des commerçants, la mairie reste étonnamment passive, sans mettre en place les mesures nécessaires pour endiguer ce fléau. Le manque de sécurité et l’absence de réponse concrète des autorités municipales laissent les citoyens dans un climat d’inquiétude et d’exaspération croissante. Comment accepter que cette entrée de ville, vitrine de Boissy, soit aujourd’hui laissée à l’abandon ? Pourquoi la municipalité reste-t-elle silencieuse alors que la colère gronde ?   Une pétition citoyenne, lancée par un habitant du quartier, a déjà rassemblé près de 600 signatures. Pourtant, la mairie reste sourde à cet appel, prisonnière de son dogmatisme et de son inaction. Nous ne sommes malheureusement pas surpris. Le maire de Boissy théorise une prétendue « sécurité passive », qui n’est en réalité qu’une sécurité passoire. Trop habitué à se défausser sur l’État, il refuse d’agir, comme si la sécurité des Boisséens ne le concernait pas. Il est vrai que la sécurité est une mission régalienne de l’État. Mais certains maires prennent leurs responsabilités et complètent l’action des forces nationales en mettant en place des dispositifs locaux efficaces : police municipale renforcée, vidéoprotection… Autant de solutions que d’autres villes ont su mettre en place et qui portent leurs fruits.   Ce qui est possible ailleurs l’est aussi à Boissy Il ne manque qu’une chose : la volonté politique d’agir. Nous refusons de nous résigner et nous continuons à porter la voix de ceux qui exigent une ville plus sûre, plus propre et plus dynamique. Il est temps d’exiger des actes et de mettre un terme à l’inaction municipale et à l’autosatisfaction.    Vidéo https://engagespourboissy.fr/wp-content/uploads/2025/06/boissy_quartier_gare.mp4

Un jeune garçon percuté par une moto à Boissy-Saint-Léger

J’apprends par la presse qu’un petit garçon de 7 ans a été percuté par une moto dans le quartier de la Haie Griselle. Mes premiers mots vont d’abord à sa famille. Je me réjouis qu’il ne soit pas blessé et espère qu’il va bien et qu’il ne sera pas trop traumatisé par cet événement qui n’est pas normal pour un petit garçon de son âge qui jouait en toute insouciance dans son quartier. Je suis en colère ! En colère parce que pas plus tard que mardi dernier en conseil municipal, j’ai alerté le maire sur la multiplication des rodéos moto dans notre quartier, sur leur dangerosité et sur le fait qu’un accident pouvait arriver à tout moment. En colère parce que cette alerte n’a pas été entendue et que le maire m’a répondu que tout allait bien dans le quartier et que la sécurité s’améliorait… ne m’en déplaise ! En colère parce que ce n’est pas la première fois que cette question des motos ou des scooters qui roulent à vive allure dans notre quartier est abordée. En colère parce que ces phénomènes sont quasiment quotidiens dans notre quartier. Personne ne peut l’ignorer. En colère de voir que dans certaines communes, les maires prennent ce problème à bras le corps et que les polices municipales sont des acteurs majeurs et actifs pour lutter contre ces phénomènes aux côtés de la police nationale. Je suis en colère parce que je sais que d’autres accidents de ce type interviendront, que des enfants, des seniors ou même des animaux seront renversés et que la réponse du Maire sera toujours la même : circulez, tout va bien ! Laure THIBAULT

Messages de menaces à l’encontre des agents du commissariat de Boissy

Soutien aux agents du commissariat de police de Boissy qui ont fait l’objet de menaces hier. Aux policiers, gendarmes, pompiers et à tous ceux qui nous protègent au quotidien, qui sont particulièrement sollicités depuis plusieurs années et qui font face à la multiplication inacceptable des actes de violences à leur encontre, merci !

Lutte contre les violences faites aux femmes, le 3919 en sursis !

Depuis des années, associations de lutte contre les violences faites aux femmes, pouvoirs publics et élus multiplient les communications pour faire connaitre le 3919, ligne d’écoute gérée par du personnel formé. Le projet du gouvernement de mise en concurrence de cette ligne, qui pouvait également aller jusqu’à un changement de numéro et de marketing, n’était pas entendable. Cette marche arrière est une bonne nouvelle qui doit se traduire par un discussion constructive avec Solidarité Femmes, gestionnaire de la plate-forme et plus de moyens pour ce dispositif afin que l’accueil soit effectif 7/7 – 24/24 ! L’association y est prête. La balle est donc dans le camp de l’Etat.

STOP au harcèlement à l’école !

TF1 diffusait lundi l’histoire puis le témoignage du jeune Jonathan DESTIN, qui s’est immolé par le feu suite au harcèlement scolaire dont il était victime. En cette journée contre le harcèlement scolaire, nous souhaitons rappeler qu’environ « un enfant sur dix » est victime de harcèlement scolaire (12% en primaire, 10% au collège et 3 ou 4% au lycée). Trop souvent, des faits divers nous rappellent que le harcèlement scolaire peut briser des vies et des familles. Tout doit être mis en œuvre, à tous les niveaux, pour que ce fléau soit enfin éradiqué ! Il est donc temps de réunir l’ensemble des acteurs autour de la table, de dresser un bilan des différentes politiques publiques menées à ce sujet et de décider ensemble des solutions à mettre en œuvre pour améliorer la situation. Parce que nous sommes tous responsables quand il s’agit de la protection et de l’avenir de nos enfants, il est temps de s’engager contre le harcèlement à l’école dans toutes les écoles et notamment à Boissy-Saint-Léger.

Violences faites aux femmes : nos propositions d’actions pour Boissy

138 femmes sont mortes, depuis le début de l’année 2019 ! 138 vies brisées, 138 familles détruites. Nous leur devons plus, nous devons faire plus pour toutes celles qui sont en situation de souffrance et de danger. Une proposition de loi a été votée au parlement, à l’initiative du député LR Aurélien Pradie. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour lutter contre ce fléau. Ici à Boissy, je souhaite développer des actions pour qu’à notre niveau, nous participions à la mobilisation contre les violences faites aux femmes : Mise en place d’un groupe de travail spécifiquement dédié aux violences faites aux femmes au sein du Conseil local de la sécurité et de la prévention de la délinquance (CLSPD). Création d’une maison des femmes pour assurer aux victimes qui trouvent le courage de parler un accompagnement complet et personnalisé Malheureusement, dans ces situations, ce sont les femmes qui doivent le plus souvent quitter le domicile conjugal. En attendant que la loi s’applique et que les victimes puissent restées chez elle, nous imposerons, dans chaque nouveau programme immobilier, des logements pour les femmes victimes de conjoints violents, et pour leurs enfants afin qu’ils retrouvent au plus vite la stabilité nécessaire pour commencer une nouvelle vie. Information et sensibilisation en direction de tous les élus mais également des agents municipaux susceptibles d’être en contact avec une victime ou volontaires. Chaque 25 novembre pour la journée Internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, nous organiserons une action de sensibilisation et d’information auprès des jeunes et en direction du grand public pour que cette question s’invite dans toutes les consciences. Nous devons agir et nous devons agir vite !

Rodéos sauvages : Nous remercions Metin Yavuz, conseiller départemental du Val-de-Marne pour son intervention

Le conseiller départemental Metin Yavuz a interpellé le Préfet lors de son audition devant l’assemblée départementale sur la situation concernant les rodéos sauvages. Depuis le 1er janvier, 54 procédures ont été diligentées (chiffre arrêté au 13 septembre). Ce qui a conduit à 52 interpellations dont 42 gardes à vue. 45 engins ont été identifiés, la moitié placée en fourrière ou sous scellés, la moitié immobilisée ou détruite.* Une législation inadaptée Si la lutte contre les rodéos s’intensifie dans le Val-de-Marne depuis le début de cette année, nous déplorons que la législation et les moyens soient encore trop souvent inadaptés pour garantir aux riverains concernés un coup d’arrêts de ces nuisances intolérables qu’ils subissent parfois au quotidien. Alors que le Préfet se réjouit de l’efficacité de son action, les faits et témoignages sur le terrain sont beaucoup moins optimistes. Arrêter un pilote reste toujours aussi difficile. « Cela fait des années qu’on nous demande quasi systématiquement d’arrêter les courses-poursuites de peur qu’un drame arrive, peste un policier de terrain. C’est démoralisant car les habitants nous demandent des comptes. »* Dans de nombreuses villes du département, les rodéos sauvages continuent de nuire à la qualité de vie et à la sécurité des riverains. À Boissy, si certains quartiers sont plus impactés que d’autres, c’est l’ensemble de la commune qui est concernée par ces nuisances insupportables. Pourtant, le maire de Boissy préfère se boucher les oreilles plutôt que d’engager des actions efficaces. Le maire candidat à sa réélection ne semble pas prendre la mesure des nuisances occasionnées par les rodéos sauvages dans notre ville. En effet, lors d’un conseil municipal, le maire a expliqué que ces rodéos sauvages n’étaient en rien une nuisance sonore puisque le bruit occasionné était de courte durée… nous attendons qu’il explique sa pensée complexe auprès des riverains excédés ! Nous dénonçons également l’attitude des élus de la majorité et certains de l’opposition qui pour la plupart n’ont pas contesté les propos du maire se faisant les complices de sa politique et de son bilan qui fait apparaître une augmentation des nuisances occasionnées par les rodéos sauvages sur le territoire de Boissy, un bilan que les Boisséens dénoncent eux depuis longtemps. Des villes voisines engagées contre les rodéos sauvages L’an dernier, à L’Haÿ-les-Roses, les policiers avaient tenté de lutter contre les rodéos en lançant des procédures pour agression sonore réitérée. L’avantage : les policiers peuvent arrêter le contrevenant chez lui le lendemain matin. Seul bémol, la législation car il est malgré tout difficile de caractériser ce genre d’infraction. Pour autant, l’exemple de L’Haÿ-les-Roses confirme notre conviction que des actions peuvent être mises en place à l’échelle communale. Malgré les manquements de la législation actuelle, le futur maire devra engager toute son énergie pour optimiser les divers outils législatifs qui lui confèrent l’autorité nécessaire, par des arrêtés municipaux, afin d’orchestrer de véritables actions concrètes et efficaces. *Sources Le Parisien 94

Insécurité à Boissy : à la demande de Laure Thibault, la sénatrice C. Procaccia interpelle le ministre de l’intérieur

Suite à le demande d’intervention de Laure Thibault, la Sénatrice du Val-de-Marne, Catherine Procaccia, a posé une question écrite à Monsieur le ministre de l’intérieur afin de lui demander les mesures qu’il entend prendre pour répondre rapidement aux inquiétudes des habitants de Boissy-Saint-Léger. Cette intervention a été envoyé au Maire de Boissy et a été portée à la connaissance de tous les intervenants de la réunion du CLSPD (Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance) qui s’est enfin tenu le 5 juin 209 après des années d’inaction à Boissy. Nous remercions chaleureusement Catherine PROCACCIA pour l’attention qu’elle porte aux problèmes d’insécurité dans le quartier de la Haie Griselle qui ne manquera pas de nous tenir informés de la réponse du ministre.

Insécurité à la Haie Griselle : engagés auprès des mamans de Boissy

Le 1er juin 2019, les mamans de la Haie Griselle, soutenues par celles d’autres villes, ont défilé pour dire non à la violence. En tête de cortège, à visage découvert et avec beaucoup d’amour, de courage et de fierté, elles ont souhaité envoyer un message fort pour que cessent les violences dans le quartier de la Haie Griselle, ce quartier qu’elles aiment et que nous aimons. Nous étions présents pour témoigner de notre soutien à ces mères courage qui se lèvent pour que le quartier retrouve son calme. Bravo à elles pour cette belle initiative que chacun se doit de soutenir.

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