Visite du Domaine du Piple : un site naturel remarquable à Boissy-Saint-Léger

Hier, Laure Thibault a participé à une visite du Domaine du Piple, aux côtés de Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France, d’Olivier Capitanio, Président du Département du Val-de-Marne, de Sophie Deschiens, Présidente d’Île-de-France Nature, ainsi que des maires et élus des villes de Boissy-Saint-Léger et de Sucy-en-Brie. Le Domaine du Piple, situé en lisière de Boissy, est un espace naturel d’exception. Avec ses 110 hectares boisés, il s’agit de l’un des derniers grands domaines forestiers privés du département. Intégré au massif de l’Arc boisé, il joue un rôle essentiel dans la préservation de la biodiversité, dans la régulation du climat local et dans la qualité du cadre de vie pour les habitants. Classé au titre du Périmètre de Protection des Espaces Agricoles et Naturels (PPAEN) et en cours de classement en Espace Naturel Sensible (ENS), le site va, grâce à l’engagement de la Région et d’Île-de-France Nature, être progressivement ouvert au public à partir de 2026. Cette ouverture se fera dans un cadre respectueux de l’environnement, en veillant à préserver les équilibres écologiques du lieu. Cette visite a été l’occasion de saluer un projet qui s’inscrit pleinement dans la stratégie régionale de préservation de la nature et de renforcement des continuités écologiques. Boissy a la chance d’abriter un tel patrimoine naturel, et il est de notre responsabilité collective de le protéger et de le valoriser. Protéger nos espaces naturels, c’est aussi protéger notre santé, notre climat et notre qualité de vie. Ce type de projet démontre qu’il est possible de concilier développement, préservation et accès à la nature. Nous continuerons à soutenir toutes les initiatives qui vont dans ce sens.
Non, le bétonnage de Boissy n’est pas une fatalité !

Comme nous, vous vous demandez quand cela va s’arrêter ! À Boissy-Saint-Léger, les programmes immobiliers se multiplient à un rythme effréné, transformant en profondeur l’identité de notre ville. À chaque nouvelle opération, la même justification revient : « Nous n’avons pas le choix, ce sont des obligations imposées par la Métropole, l’État ou la Région. » Mais cette affirmation, relayée par le maire depuis des années, est tout simplement fausse. Aucune contrainte métropolitaine directe À ce jour, ni le PMHH (Plan Métropolitain de l’Habitat et de l’Hébergement), ni le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) n’imposent de nouveaux objectifs chiffrés aux villes.Ces documents de programmation ne sont toujours pas définitivement adoptés, et ne contraignent en rien les PLU existants. Boissy conserve donc toute sa liberté d’aménager son territoire de manière équilibrée. Boissy dépasse déjà largement les obligations de l’État.La seule contrainte imposée par l’État en matière de logements est celle de la loi SRU, qui fixe un objectif de 25 % de logements sociaux dans chaque commune. Or, Boissy-Saint-Léger compte plus de 37 % de logements sociaux. Nous dépassons déjà largement les obligations légales et ne risquons aucune sanction en matière de construction. Le SDRIF prévoit +15 % de population d’ici 2030… soit 953 logements Le Schéma Directeur de la Région Île-de-France, adopté en 2013 par les alliés politiques du maire, prévoit une augmentation de population dans les villes desservies par une gare. Pour Boissy, cela représente environ 953 logements à l’horizon 2030. Or, selon nos calculs, ce chiffre est déjà largement dépassé. Près de 1 300 logements ont déjà été livrés ou sont programmés. Le quota régional est donc atteint… et même dépassé. Alors pourquoi continuer ? Le PLU actuel ouvre la voie à une densification massive Le Plan Local d’Urbanisme voté en 2018 par le maire et sa majorité autorise :– Jusqu’à 15 mètres de hauteur d’immeubles le long de la RN19.– Et 25 mètres dans le nouveau quartier de la Charmeraie. Et lorsque le maire affirme qu’il ne peut pas refuser des immeubles de cette hauteur déposés par un promoteur, il a raison : c’est lui-même qui a permis cela en adoptant un PLU aussi permissif. L’urbanisme, le patrimoine et le cadre de vie : une priorité de notre projet 2026 L’urbanisme n’est pas une affaire technique, c’est un choix politique fondamental. Il engage notre avenir commun : notre cadre de vie, la valeur de nos biens, la qualité de nos espaces publics, la protection de notre patrimoine architectural et naturel. C’est pourquoi, en vue des élections municipales de mars 2026, la question de l’urbanisme fera l’objet de toutes nos préoccupations. Nous défendrons un modèle de développement raisonné, respectueux de l’histoire de Boissy, de ses quartiers, de ses habitants. En attendant l’élaboration de notre futur programme, vous pouvez consulter nos propositions de 2020, encore en ligne. Et surtout, n’hésitez pas à nous rejoindre pour participer à la construction de notre projet pour un Boissy plus équilibré, plus harmonieux et plus respectueux de son identité. Nos propositions
EPFIF à Boissy-Saint-Léger : une menace silencieuse pour les propriétaires

En décembre 2021, la majorité municipale a voté l’extension de l’intervention de l’Établissement Public Foncier d’Île-de-France (EPFIF) sur l’ensemble du tissu urbain de Boissy-Saint-Léger. Une décision lourde de conséquences, mais peu expliquée aux habitants. EPFIF : un outil d’aménagement… à double tranchant L’EPFIF est un établissement public qui agit pour le compte des collectivités locales afin de faciliter la construction de logements, notamment sociaux. Il peut, pour cela : En d’autres termes, si vous êtes propriétaire à Boissy, vous pouvez désormais voir votre bien préempté, y compris dans des quartiers jusqu’ici résidentiels et tranquilles. Tous les quartiers sont concernés Depuis ce vote, toute la ville est placée sous “veille foncière” : C’est une pression foncière injustifiée qui fragilise la confiance des propriétaires et risque de favoriser une urbanisation massive sans vision d’ensemble. Une autre voie était possible Face à cette dérive, nous avons fermement dénoncé cette décision, prise sans véritable concertation et sans analyse fine des besoins réels de la ville. Car s’il avait vraiment voulu protéger Boissy, le maire aurait pu : Ce n’est pas une fatalité L’avenir de Boissy ne peut pas se résumer à une succession de projets immobiliers décidés dans l’urgence. Il est temps de reprendre la main sur l’aménagement de notre ville, avec : Cette décision sur l’EPFIF montre, une fois de plus, qu’à défaut de planifier, la majorité municipale subit. Et ce sont les Boisséens qui en paient le prix.
Prolonger la ligne 18 jusqu’à Boissy : OUI, c’est essentiel !

C’est un signal fort pour notre territoire : le prolongement de la ligne 18 du Grand Paris Express jusqu’à Boissy-Saint-Léger est en bonne voie de devenir une priorité partagée par de nombreux acteurs. Pour Olivier Capitanio, président du Département du Val-de-Marne, et François Durovray, président du Département de l’Essonne, ce projet est un véritable activateur de territoire. Pourquoi c’est si important ? Parce que le Grand Paris Express est une révolution pour l’Île-de-France. Il permettra enfin de contourner Paris, de désaturer les lignes existantes et d’accéder plus rapidement aux grands pôles d’emploi, sans dépendre systématiquement de la voiture. Or, aujourd’hui encore, le nord-est de l’Essonne et le sud du Val-de-Marne, dont Boissy fait partie, restent exclus de ce réseau structurant, alors que ces secteurs souffrent depuis longtemps d’un manque criant d’alternatives de transport, notamment vers Orly ou Rungis. Une étude récente le confirmeLe prolongement à l’Est de la ligne 18 est le maillon manquant. Il offrirait : Et maintenant ? Fort de ces résultats, les Départements du Val-de-Marne et de l’Essonne demandent à l’État et à la Région Île-de-France de financer les études du prolongement dans le cadre du prochain Contrat de Plan État-Région (CPER). À Boissy, nous disons OUI à ce projet ambitieux ! Ce prolongement est une opportunité historique pour notre ville et pour tout le territoire. Il améliorera le quotidien des habitants, l’attractivité économique et l’équilibre territorial. Avec Laure Thibault et notre équipe, nous soutenons pleinement cette mobilisation et resterons vigilants et actifs pour que Boissy ne reste pas à l’écart du Grand Paris de demain.
Rencontre avec les Boisséens à Faites Éco

Samedi, nous avons eu le plaisir de rencontrer de nombreux Boisséens à l’occasion de l’événement Faites Éco, organisé sur la nouvelle esplanade Joséphine Baker, au cœur de la Haie Griselle. Ce moment convivial a été l’occasion d’échanger autour de notre quotidien, des attentes pour Boissy et de notre vision pour l’avenir de notre ville. Transition écologique, cadre de vie, propreté, circulation, sécurité, dynamisme local… autant de sujets que vous avez partagés avec nous, avec lucidité et espoir. Ces échanges nous confortent dans notre engagement : Boissy a besoin d’écoute, d’action et d’un projet ambitieux et réaliste pour améliorer la vie de toutes et tous. Merci à celles et ceux qui ont pris le temps de venir dialoguer avec nous. Votre parole compte, et c’est ensemble que nous ferons avancer Boissy-Saint-Léger.
Extension de la zone bleue : une décision précipitée, incohérente et déconnectée du terrain

La majorité municipale vient d’imposer à Boissy-Saint-Léger une extension massive de la zone bleue, avec des durées de stationnement variant selon les rues : 45 minutes, 1h30, 2h, voire 2h30. Mais cette décision, prise sans réelle concertation, révèle une profonde méconnaissance des réalités locales. Dès sa mise en œuvre, le dispositif montre ses failles : des panneaux qui contredisent l’arrêté municipal, une signalisation parfois absente ou incohérente, et des automobilistes exposés à des verbalisations qu’on peut qualifier, au mieux, d’injustes. Peut-on sérieusement sanctionner un usager quand la ville elle-même ne respecte pas ses propres règles ? Cette confusion n’est pas un détail : elle fragilise la légitimité même de la mesure. Le fond du problème est tout aussi préoccupant. La municipalité impose une durée de stationnement de seulement 45 minutes dans une partie du centre-ville, y compris dans des rues résidentielles, sans tenir compte des usages quotidiens. C’est une pénalisation directe : Pendant ce temps, le secteur de la gare RER A – central, commerçant et à forte affluence – bénéficie, lui, de 1h30 de stationnement. Cherchez la logique… À cela s’ajoute une mesure tout simplement incompréhensible : l’article 7 de l’arrêté assimile à de la fraude le simple fait de déplacer son véhicule pour prolonger son stationnement. Autrement dit, même quand vous jouez le jeu, vous êtes suspectés d’enfreindre la règle. Une approche méfiante, rigide, qui en dit long sur l’esprit du dispositif. Mais ce qui choque le plus, c’est l’absence totale de dialogue. Aucune réunion publique, aucune consultation des riverains ni des commerçants. Aucune solution alternative proposée, là où d’autres communes – comme Saint-Maur-des-Fossés – mettent en place des cartes de stationnement résidentiel qui allient régulation et bon sens. Nous appelons donc le maire à faire preuve de responsabilité : Il en va de l’attractivité de notre centre-ville, de la survie de nos commerces de proximité, et du respect dû aux Boisséens. Boissy mérite mieux que des décisions unilatérales, mal préparées et injustes.
Instauration de la ZFE (Zone à Faibles Emissions) : Une décision éloignée des réalités des Boisséens

Le 10 octobre 2024, le conseil municipal a été invité à se prononcer sur la consultation de la Métropole du Grand Paris (MGP) concernant la Zone à Faibles Émissions (ZFE). Cette mesure restreindra la circulation des véhicules classés Crit’Air 3, 4, 5 et non-classés dans le périmètre de l’A86, du lundi au vendredi, de 8h à 20h. Nous avons voté contre cette délibération pour plusieurs raisons majeures, car elle ne prend pas en compte les réalités de nos concitoyens. La majorité municipale a voté « pour » faisant fi de l’intérêt de nos concitoyens. D’abord, cette mesure frappe injustement les ménages modestes et les travailleurs Boisséens qui dépendent de leur véhicule pour des déplacements essentiels comme par exemple se rendre à l’hôpital Henri-Mondor ou pour nos commerçants du marché se fournir auprès du MIN de Rungis. Beaucoup d’entre eux ne peuvent tout simplement pas se permettre de changer de véhicule pour répondre aux nouvelles exigences écologiques imposées aujourd’hui et qui changeront peut-être demain. Les aides proposées restent largement insuffisantes pour compenser cette charge qui pèse sur les ménages déjà lourdement impactés par l’augmentation du coût de la vie. Ensuite, cette décision a été prise sans une véritable concertation auprès des habitants et sans étude d’impact détaillée sur les conséquences sociales et économiques pour notre territoire et ses habitants. Si lutter contre la pollution est une nécessité, cela ne doit pas se faire au prix d’une exclusion sociale.En l’état, cette ZFE menace de fragiliser davantage les familles Boisséennes sans alternative viable et fiable au véhicule individuel. Enfin, les dérogations locales annoncées pour des raisons économiques, sociales ou techniques sont floues et peu adaptées aux réalités de terrain. De nombreux Boisséens risquent de se retrouver sans solution, pris au piège d’une politique restrictive et mal anticipée. Nous réaffirmons notre engagement pour une écologie pragmatique, juste et solidaire, qui améliore la vie de tous sans sacrifier les plus vulnérables. Notre position est claire : Oui à la ZFE (Zone à Faibles Émissions), non à la ZFE (Zone à Forte Exclusion) !
Grand Paris Express : Boissy toujours mieux desservie avec l’aide de la Région et du Département

La mise en service du Grand Paris Express constitue l’élément phare de développement du Val-de-Marne pour les 10 prochaines années. Depuis juin, la ligne 14 relie l’aéroport d’Orly à Paris en moins de 30 minutes. En 2025, la ligne 15 sud traversera le Val-de-Marne, reliant Pont de Sèvres (Hauts-de-Seine) à Noisy – Champs (Seine-Saint-Denis / Seine-et-Marne) en 37 minutes. 10 des seize nouvelles gares de cette ligne se situent en Val-de-Marne. Les habitants de Boissy-Saint-Léger pourront y accéder via la ligne A du RER depuis Saint-Maur-Créteil. 2025 marquera également l’arrivée du tout premier téléphérique urbain d’Ile-de-France, baptisé Câble 1, reliant Villeneuve-Saint-Georges à la ligne 8 du métro à Créteil. Depuis plusieurs mois, les Présidents des départements du Val-de-Marne et de l’Essonne se sont mobilisés pour étendre la ligne 18 à l’est de l’aéroport d’Orly jusqu’à Boissy-Saint-Léger. Cette extension répond à l’impératif d’une desserte plus performante des territoires les plus éloignés des transports. L’objectif est non seulement de compenser la coupure naturelle créée par la vallée de la Seine, mais aussi de faciliter l’accès aux bassins d’emploi et d’activités autour d’Orly et Massy. La région Île-de-France a entendu cette demande, et vient de confirmer l’inscription du prolongement de la ligne 18 dans son schéma d’aménagement pour 2040. Une excellente opportunité pour les Boisséens ! Cette révolution des transports s’accompagne d’une refonte tarifaire plus juste et simplifiée. Dès le 1er janvier 2025, un billet unique métro-train-RER coûtera 2,50 € (1,99 € avec Liberté+) et un billet bus-tram 2,00 € (1,60 € avec Liberté+). Cela mettra fin aux billets Origine-Destination et à la grille actuelle qui comporte plus de 50.000 tarifs, allant de 2,15 € à 6,00 €. Les Boisséens, qui paient actuellement 5 euros pour un trajet en RER jusqu’à Paris, verront ce coût passer à 2,5 € (ou 1,99 € avec Liberté+). Toutefois, encourager les habitants à adopter les transports en commun, et ainsi protéger l’environnement, demande plus que des infrastructures adaptées. Il est nécessaire d’améliorer l’aménagement urbain, de rendre les abords des gares propres et sûrs. En ce sens, il reste encore beaucoup à faire à Boissy-Saint-Léger…
Passage à faune et requalification RN19 : Les crédits enfin inscrits au contrat de Plan Etat/Région

Tout en poursuivant la modernisation et le développement des transports du quotidien, ce Contrat de Plan Etat/Région s’inscrit dans un rééquilibrage territorial entre l’Est et l’Ouest de la Région Ile-de-France et permet de développer et d’aménager un territoire francilien polycentrique, accompagnant la dynamique du Grand Paris Express. Le Val-de-Marne se voit ainsi doté de plus d’1 milliard d’euros d’investissements pour ses infrastructures de transport. Une bonne nouvelle pour le Département du Val-de-Marne mais également pour la Ville de Boissy-Saint-Léger qui se voit attribuer les crédits nécessaires au passage à faune et le requalification de la RN19.
Un plan de sobriété énergétique qui manque clairement d’ambition

Face à la crise de l’énergie, la ville de Boissy, comme toutes les villes de France, a voté son plan de sobriété énergétique. Nous avons approuvé ce plan, conscients que les collectivités, comme tous les Français, doivent faire des efforts face à l’explosion des prix de l’énergie. Pour autant, le plan proposé par le maire et son équipe manque cruellement d’ambition à la fois pour notre ville mais également pour les Boisséens. D’abord le plan proposé n’est pas chiffré. Combien la collectivité consomme-t-elle d’énergie aujourd’hui ? Quels sont nos objectifs pour demain ? Comment compte-t-on y parvenir et quels indicateurs mettons-nous en place pour évaluer nos progrès ? Un plan de bataille que tout à chacun met en place lorsqu’il souhaite faire des économies sur son propre budget. Ensuite, force est de constater que pour les particuliers, les travaux de rénovation énergétique coutent chers, malgré les aides disponibles. Par ailleurs, c’est un secteur où les arnaques sont nombreuses, touchant souvent les plus fragiles. Nous estimons donc qu’un plan de sobriété énergétique et de solidarité digne de ce nom doit s’accompagner d’une campagne de communication volontariste. La ville de Vincennes, par exemple, dans son dernier magazine, rappelle aux Vincennois les accompagnements financiers dont peuvent bénéficier les particuliers pour engager des travaux visant à faire des économies d’énergie (notamment les aides de l’Etat via le dispositif MaPrimeRénov’). Pour finir, nous considérons qu’un plan de sobriété énergétique et de solidarité digne de ce nom aurait dû s’accompagner de mesures plus volontaristes pour protéger le pouvoir d’achat des Boisséens. Alors que le Département du Val-de-Marne vient de lancer son propre chèque énergie, des villes proches de nous ont voté des mesures similaires.C’est le cas de la ville voisine de Limeil-Brévannes qui lance un dispositif « Coup de pouce inflation », une aide à hauteur de 80 € pour les personnes seules et 130 € pour un couple.Vous pouvez le voir, à Boissy, nous sommes loin du compte… L’ensemble de l’équipe Rassemblés et engagés pour Boissy vous adresse malgré tout de chaleureuses et bienveillantes pensées, en espérant que la sérénité du temps des fêtes de Noël soit un heureux prélude à la nouvelle année.