Marché de Noël : trois jours de découvertes et de rencontres

Pendant trois jours, du vendredi 28 au dimanche 30 novembre, notre équipe était présente au Marché de Noël de Boissy-Saint-Léger, un rendez-vous attendu qui marque chaque année le début des festivités de fin d’année. Tout a commencé vendredi soir avec la retraite aux flambeaux, au départ du Boécien, aux côtés de nombreuses familles. Un moment chaleureux et convivial. Tout au long du marché, nous avons eu le plaisir de rencontrer des artisans de talent, qui ont su proposer des idées cadeaux originales, des créations artisanales soignées, et des spécialités culinaires venues d’ici et d’ailleurs. Une belle diversité, au service d’un Noël authentique. Nous regrettons néanmoins le manque d’animations pour les enfants, un aspect qui s’amenuise chaque année alors qu’il devrait rester central dans ce type d’événement familial. Les sourires des plus jeunes font aussi la magie de Noël, et il est essentiel de leur redonner toute leur place dans les futures éditions. Un grand merci aux agents municipaux mobilisés tout au long du week-end, pour leur investissement et leur travail, ainsi qu’aux exposants pour la qualité de leurs produits et leur accueil. Merci également à tous les Boisséens venus échanger avec nous, parfois longuement, toujours avec bienveillance. Ces discussions nourrissent notre engagement et renforcent notre conviction qu’un autre avenir est possible pour Boissy. À toutes et tous, nous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année.
Réunion publique sur le plan de circulation en centre-ville

Hier soir, lors de la réunion sur le plan de circulation en centre-ville, nous avons eu le droit à une grande soirée de démocratie participative… façon Boissy-Saint-Léger. Au programme : un PowerPoint illisible de loin, des chiffres flous, aucune précision sur la méthode de comptage, et un cabinet d’étude qui avoue tranquillement ne pas avoir interrogé les commerçants sur l’impact économique de ces 6 mois d’expérimentation. Autant dire que le « bilan » ressemblait plus à un brouillon qu’à une analyse sérieuse. Les riverains ont posé des questions précises. Les réponses ? Discrètes. Très discrètes. On pourrait presque croire qu’on assistait à un concours d’esquive. Et puis, soudain, sans prévenir : renversement de situation.La réunion d’information se transforme en vote à main levée. Surprise ! Résultat : on garde le plan de circulation. Enfin… une version « améliorée ».Quelles améliorations ? Pourquoi celles-ci ? Sur la base de quoi ? Mystère. Même le PowerPoint semblait hésiter. Rappelons que moins de 1 % de la population était présente, dans une salle largement remplie d’élus et de sympathisants du maire. Six mois d’essai, des ateliers annoncés partout… pour finir avec un vote improvisé et des slides illisibles. De la participation façon prestidigitation. Une vraie masterclass de démocratie participative 2.0. Nous attendons avec impatience la prochaine innovation démocratique de la municipalité, après le budget participatif non participatif, ils ont de la ressource ! Mais au-delà du sourire que cette mise en scène pourrait provoquer, il y a une réalité : ces décisions prises à la hâte ont un impact bien réel sur le quotidien de milliers de Boisséens. Heureusement, les Boisséens auront bientôt l’occasion de voter pour de vrai. En mars, lors des élections municipales. Un vote sans pièges, sans improvisation, sans coulisses. Juste des urnes, et la démocratie qui fonctionne comme prévu.
Nouvelle fermeture de la buvette du marché : la politique punitive du maire continue

C’est une nouvelle qui scandalise autant qu’elle inquiète : la buvette du marché de la Ferme a de nouveau été fermée pour un mois entier, sur décision unilatérale du maire, sans qu’aucune justification officielle ni décision de justice ne soit rendue publique à ce jour. Un mois de fermeture pour un petit commerce de proximité, c’est un coup dur. Et quand cette décision tombe sans transparence ni explication, cela ressemble davantage à une sanction politique qu’à une mesure de bon sens. Une inquiétante série noire pour les commerçants du marché Cet hiver déjà, un poissonnier a dû fermer définitivement boutique. Depuis juillet, ce sont deux autres commerçants qui ont subi des fermetures administratives temporaires, sans communication claire de la mairie. À qui le tour demain ? Pendant ce temps, les vendeurs à la sauvette prolifèrent, et les trafics en tous genres continuent d’opérer dans nos quartiers, en toute impunité. Cherchez l’erreur. Un climat délétère installé par la mairie Nous le dénonçons depuis des mois : les commerçants du marché sont les victimes d’une politique municipale agressive. Et pourtant, ce sont eux qui font vivre le marché chaque semaine, dans un esprit de proximité, de convivialité et de lien social. Une mairie forte avec les faibles… mais faible avec les vrais fauteurs de trouble Ce nouvel épisode illustre tristement ce que nous constatons depuis plusieurs années : Une autorité qui s’exerce à sens unique sur les plus exposés et une absence de courage face aux véritables défis de sécurité et de tranquillité publique. Ce n’est pas ainsi que l’on construit une ville apaisée, dynamique et solidaire. Nous continuerons de défendre les commerçants de Boissy, avec détermination Non seulement parce qu’ils sont au cœur de la vie locale, mais parce qu’ils méritent mieux que le mépris et les sanctions arbitraires. Assez de l’intimidation ! Place au dialogue, à la transparence et au bon sens.
DAB de la rue de Paris : une victoire pour les Boisséens et le commerce de proximité

Bonne nouvelle pour le centre-ville de Boissy-Saint-Léger : grâce à la mobilisation collective de l’Association des Commerçants, Artisans et Professionnels (ACAP) et des habitants, la suppression du dernier distributeur automatique de billets (DAB) situé rue de Paris a été annulée. Ce DAB était menacé de disparition, une décision qui aurait eu de lourdes conséquences pour la vie locale. Grâce à une pétition largement relayée, un engagement fort des commerçants et un soutien citoyen massif, le combat a été entendu. « Nous sommes fiers d’avoir porté cette pétition aux côtés des commerçants et des habitants qui ont su se mobiliser en nombre, et nous remercions la municipalité qui s’est engagée à nos côtés pour obtenir ce maintien essentiel à la vie quotidienne de notre centre-ville. » Stéphane Suir, président de l’ACAP Ce distributeur automatique, c’est bien plus qu’un simple service bancaire : Merci à toutes celles et ceux qui ont signé, partagé, relayé et soutenu cette action. Cette victoire prouve une chose essentielle : lorsque les Boisséens se mobilisent, leur voix compte ! Mais cette mobilisation n’est pas une fin en soi. L’ACAP reste vigilante et engagée pour défendre lee commerce de proximité, lLes services publics de base et un centre-ville vivant et accessible à tous. Boissy mérite mieux qu’un démantèlement silencieux de ses services. Ensemble, continuons à faire entendre nos besoins et à défendre notre ville.
Supermarché de la Charmeraie : le fiasco du maire !

Un départ précipité, une promesse brisée. En avril 2024, le Géant Casino fermait définitivement ses portes dans le quartier de la Haie-Griselle. Un choc pour les habitants, mais vite atténué par les promesses rassurantes du maire : « Ce n’est qu’une affaire de trois semaines », affirmait-il alors. Intermarché devait reprendre les lieux rapidement. Pourtant, quelques mois plus tard, le couperet tombe : le groupe abandonne purement et simplement le projet. Silence gênant à tous les étages Ce désengagement brutal a laissé les Boisséens sans explication. Aucun communiqué, aucune motion, aucun mot pour les riverains qui perdent un service essentiel. Pire encore, à la même période, Intermarché annonce également la fin de la gratuité des livraisons à domicile, un service pourtant largement mis en avant par la municipalité quelques semaines auparavant. Silence radio là aussi. Un quartier sans commerce, un maire sans solution Le 12 avril 2025, lors de l’inauguration de l’esplanade Joséphine Baker, le maire tente de rassurer : « Une solution sera annoncée très prochainement ». À ce jour, aucun projet n’a été dévoilé, et le local commercial reste désespérément vide. La promesse de continuité commerciale formulée dès 2018 s’est évaporée, comme tant d’autres. La Haie-Griselle livrée à elle-même La fermeture du seul supermarché accessible à pied dans ce quartier conçu sans dépendance à la voiture a laissé des centaines de riverains isolés. Personnes âgées, familles, habitants sans véhicule : plus aucun commerce alimentaire de proximité, ni pour les anciens habitants, ni pour les nouveaux arrivants de la Charmeraie. Un projet d’urbanisme aux airs de coquille vide Le projet de la Charmeraie était présenté comme le grand projet d’aménagement urbain des trois mandats du maire : 650 logements, des commerces en pied d’immeuble, un quartier repensé. Aujourd’hui, seuls la pharmacie et le boucher ont repris leur place. Le local prévu pour le supermarché est vide, malgré les financements publics engagés. Boissy est encore une fois l’exception dans une région où ce genre de projet aboutit rarement à un tel échec. Des questions sans réponse, des responsabilités à établir Pourquoi Intermarché a-t-il renoncé ? Est-ce lié à l’ouverture d’un autre magasin en centre-ville ? À une désertification commerciale croissante à Boissy ? Ou à une incapacité à sécuriser le projet ? Quoi qu’il en soit, ce fiasco municipal a un coût : pour les commerçants, les riverains, et l’ensemble des Boisséens qui voient leurs impôts financer des locaux vides.
Bienvenue à la nouvelle épicerie de proximité, rue de Paris !

Ce samedi, nous avons tenu à saluer l’ouverture du Coccimarket, une nouvelle épicerie de proximité située au 7 rue de Paris, portée par deux commerçants dynamiques et bienveillants. Dans un contexte où plusieurs commerces ont malheureusement fermé ces derniers mois dans ce secteur, cette nouvelle installation est une bonne nouvelle pour la vie de quartier et pour l’attractivité du centre-ville. Les commerces de proximité, ce sont bien plus que des lieux d’achat : Félicitations aux nouveaux commerçants pour leur initiative !Nous leur souhaitons plein succès dans cette aventure et encourageons vivement les Boisséennes et Boisséens à leur réserver un accueil chaleureux. Soutenir nos commerces, c’est aussi faire vivre notre ville.
La fable de la fête des mères au marché de Boissy

Le maire, les fleurs… et le timing parfait ou quand le maire redécouvre l’existence du marché et des commerçants… à dix mois des élections. Il y a des traditions qui ne changent pas à Boissy. Les mamans ont droit à leurs fleurs, et le maire, lui, a droit à son petit bain de foule… mais seulement quand l’agenda électoral lui en donne l’opportunité.Ce dimanche, pendant que les commerçants du marché de la Ferme, avec leurs propres moyens, offraient une rose à chaque maman dans un bel élan de générosité, voilà que – surprise ! – le maire et son équipe arrivent, les bras chargés de roses estampillées “municipalité”. Financement public, sourire ultra-bright, caméras pas loin : tout y est. À croire que les élus redécouvrent les joies du marché tous les six ans. Une coïncidence sans doute… comme en 2020, où une distribution de muguet avait été organisée en pleine crise du Covid. Oui, en plein confinement, quand on demandait aux habitants de ne surtout pas sortir, certains sortaient… avec des fleurs. Ce dimanche, rebelote : même mise en scène, même réflexe. Et tant pis si, en amont, les affiches des commerçants auraient mystérieusement disparu des étals. Pure coïncidence, évidemment. Ce soudain amour des fleurs est touchant. Mais après des années de silence, de loyers augmentés sans explication, de refus de dialogue avec l’association des commerçants… disons que le bouquet a un parfum d’électoralisme un peu fané.Les Boisséens ne sont pas dupes. Le marché mérite mieux qu’un décor de campagne.
Extension de la zone bleue : une décision précipitée, incohérente et déconnectée du terrain

La majorité municipale vient d’imposer à Boissy-Saint-Léger une extension massive de la zone bleue, avec des durées de stationnement variant selon les rues : 45 minutes, 1h30, 2h, voire 2h30. Mais cette décision, prise sans réelle concertation, révèle une profonde méconnaissance des réalités locales. Dès sa mise en œuvre, le dispositif montre ses failles : des panneaux qui contredisent l’arrêté municipal, une signalisation parfois absente ou incohérente, et des automobilistes exposés à des verbalisations qu’on peut qualifier, au mieux, d’injustes. Peut-on sérieusement sanctionner un usager quand la ville elle-même ne respecte pas ses propres règles ? Cette confusion n’est pas un détail : elle fragilise la légitimité même de la mesure. Le fond du problème est tout aussi préoccupant. La municipalité impose une durée de stationnement de seulement 45 minutes dans une partie du centre-ville, y compris dans des rues résidentielles, sans tenir compte des usages quotidiens. C’est une pénalisation directe : Pendant ce temps, le secteur de la gare RER A – central, commerçant et à forte affluence – bénéficie, lui, de 1h30 de stationnement. Cherchez la logique… À cela s’ajoute une mesure tout simplement incompréhensible : l’article 7 de l’arrêté assimile à de la fraude le simple fait de déplacer son véhicule pour prolonger son stationnement. Autrement dit, même quand vous jouez le jeu, vous êtes suspectés d’enfreindre la règle. Une approche méfiante, rigide, qui en dit long sur l’esprit du dispositif. Mais ce qui choque le plus, c’est l’absence totale de dialogue. Aucune réunion publique, aucune consultation des riverains ni des commerçants. Aucune solution alternative proposée, là où d’autres communes – comme Saint-Maur-des-Fossés – mettent en place des cartes de stationnement résidentiel qui allient régulation et bon sens. Nous appelons donc le maire à faire preuve de responsabilité : Il en va de l’attractivité de notre centre-ville, de la survie de nos commerces de proximité, et du respect dû aux Boisséens. Boissy mérite mieux que des décisions unilatérales, mal préparées et injustes.
Mobilisation réussie au marché de la Ferme : les Boisséens disent NON à la hausse des taxes imposées aux commerçants !

Dimanche 6 avril, dès les premières heures de la matinée, nous étions présents au marché de la Ferme pour aller à la rencontre des habitants et faire signer la pétition contre l’augmentation des taxes imposées aux commerçants par la municipalité. Malgré le froid, les échanges ont été nombreux et chaleureux. Beaucoup de Boisséennes et de Boisséens ont exprimé leur incompréhension face à cette hausse de 10,2 % des droits de place, votée sans réelle concertation, alors que le marché souffre déjà d’un manque criant d’entretien : toilettes insalubres, ballon d’eau chaude en panne depuis plus d’un an, stationnement dégradé… « On paie plus, mais le marché est de moins en moins entretenu ! »« C’est encore une décision prise sans les commerçants, et sans les habitants… » De nombreux citoyens ont spontanément signé la pétition, refusant que cette nouvelle charge soit imposée à des professionnels déjà fragilisés par la conjoncture. Beaucoup redoutent également que cette hausse ne se répercute, à terme, sur les prix des produits, impactant le pouvoir d’achat local. Une mobilisation citoyenne pour défendre notre commerce de proximité Par cette action, nous réaffirmons notre attachement au marché de la Ferme, à ses commerçants, et à son rôle essentiel dans la vie du quartier et de la ville. « Ce que nous demandons, c’est simple : de la transparence, de la concertation et de la justice fiscale locale. La hausse imposée n’est ni justifiée ni acceptable dans le contexte actuel. » Une première victoire pour nos commerçants Quelques jours après, la délibération sur la hausse des droits de place retirée de l’ordre du jour hier soir au conseil municipal ! Un immense merci à toutes celles et ceux qui ont signé la pétition et soutenu nos commerçants du marché de la Ferme. Grâce à votre mobilisation, le maire a été contraint hier soir de retirer la délibération sur l’augmentation des droits de place. Le maire demande plus de temps pour étudier le dossier… Un recul rendu possible grâce à la pression collective ! Mais restons vigilants : Cette augmentation injuste n’est pas encore abandonnée. De nombreux commerçants subissent déjà des réévaluations de leur métrage, avec des hausses brutales de leur facture. La mobilisation continue pour défendre un marché vivant, accessible et respectueux de ceux qui y travaillent. Soutenez-les dès maintenant en signant la pétition en ligne > Pétition Encore merci pour votre engagement, et à très vite pour la suite de ce combat local qui nous concerne toutes et tous. https://engagespourboissy.fr/wp-content/uploads/2025/06/Sequence-01.mp4
Commerces de proximité : des promesses aux désillusions

À Boissy, les commerces de proximité sont en difficulté. Fermetures en série, projets annoncés mais jamais réalisés, décisions municipales contradictoires… Le constat est alarmant. Alors que les habitants ont plus que jamais besoin de commerces de proximité, la municipalité peine à mettre en place une véritable politique de dynamisation commerciale. Retour sur un mandat marqué par l’inaction et les désillusions. Rue de Paris : une artère commerciale à l’abandon Depuis plusieurs mois, la rue de Paris se vide peu à peu. Après la fermeture de plusieurs banques, ce sont désormais la librairie et la boutique de cadeaux qui baissent définitivement le rideau. Dans une rue délaissée, peu entretenue, l’image de nos commerçants est en danger. Ce n’est pas une fatalité, mais le résultat d’un manque de vision et d’ambition. Où sont passés les commerces de proximité annoncés en grande pompe par le maire pendant la campagne de 2020 dans le programme du Jardin des Orchidées ? Primeur, poissonnier, parapharmacie, boutique d’équipement médical… Quatre ans après, rien de tout cela n’a vu le jour. Où est passée la fameuse « semaine commerciale » vantée dans les tracts électoraux ? Silence radio. Haie Griselle : toujours pas de grande surface Et du côté de la Haie Griselle, malgré les effets d’annonce et le triomphalisme, les habitants attendent toujours le retour d’une grande surface. Après la fermeture du Casino l’an dernier, le groupe Intermarché a annoncé qu’il ne reprendrait pas le site. Un nouveau coup dur pour les familles qui n’ont aujourd’hui aucune solution de proximité. Côté marché de la Ferme : des hausses de tarifs incompréhensibles Pire encore, la dernière décision du maire en matière de commerce laisse pantois : une nouvelle augmentation des droits de place pour les commerçants du marché de la Ferme, qui subissent une hausse de 10 %, soit +20 % depuis le début du mandat. Une décision d’autant plus incompréhensible que le maire avait promis de soutenir le commerce local et qu’il disait avoir de grandes ambitions pour le marché. À Boissy, les promesses s’accumulent ; les actions, elles, se font attendre. Nous le regrettons et nous sommes persuadés que la ville doit beaucoup plus aux Boisséens et aux commerçants.