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Extension de la zone bleue : une décision précipitée, incohérente et déconnectée du terrain

La majorité municipale vient d’imposer à Boissy-Saint-Léger une extension massive de la zone bleue, avec des durées de stationnement variant selon les rues : 45 minutes, 1h30, 2h, voire 2h30. Mais cette décision, prise sans réelle concertation, révèle une profonde méconnaissance des réalités locales. Dès sa mise en œuvre, le dispositif montre ses failles : des panneaux qui contredisent l’arrêté municipal, une signalisation parfois absente ou incohérente, et des automobilistes exposés à des verbalisations qu’on peut qualifier, au mieux, d’injustes. Peut-on sérieusement sanctionner un usager quand la ville elle-même ne respecte pas ses propres règles ? Cette confusion n’est pas un détail : elle fragilise la légitimité même de la mesure. Le fond du problème est tout aussi préoccupant. La municipalité impose une durée de stationnement de seulement 45 minutes dans une partie du centre-ville, y compris dans des rues résidentielles, sans tenir compte des usages quotidiens. C’est une pénalisation directe : Pendant ce temps, le secteur de la gare RER A – central, commerçant et à forte affluence – bénéficie, lui, de 1h30 de stationnement. Cherchez la logique… À cela s’ajoute une mesure tout simplement incompréhensible : l’article 7 de l’arrêté assimile à de la fraude le simple fait de déplacer son véhicule pour prolonger son stationnement. Autrement dit, même quand vous jouez le jeu, vous êtes suspectés d’enfreindre la règle. Une approche méfiante, rigide, qui en dit long sur l’esprit du dispositif. Mais ce qui choque le plus, c’est l’absence totale de dialogue. Aucune réunion publique, aucune consultation des riverains ni des commerçants. Aucune solution alternative proposée, là où d’autres communes – comme Saint-Maur-des-Fossés – mettent en place des cartes de stationnement résidentiel qui allient régulation et bon sens. Nous appelons donc le maire à faire preuve de responsabilité : Il en va de l’attractivité de notre centre-ville, de la survie de nos commerces de proximité, et du respect dû aux Boisséens. Boissy mérite mieux que des décisions unilatérales, mal préparées et injustes.

Inauguration de l’esplanade Joséphine Baker : une mémoire honorée, un quartier en attente

Ce samedi 12 avril, nous étions présents à l’inauguration de la nouvelle esplanade Joséphine Baker, qui vient remplacer l’ancienne place du Forum dans le quartier de la Charmeraie à Boissy-Saint-Léger. Un moment empreint d’émotion et de fierté, marqué par les prestations des enfants Boisséens qui ont chanté et récité des textes en hommage à Joséphine Baker, figure emblématique du XXe siècle. Artiste internationale, résistante pendant la Seconde Guerre mondiale et militante infatigable, Joséphine Baker incarne des valeurs universelles de liberté, de fraternité et de courage. Son entrée au Panthéon en 2021 a consacré son rôle dans l’histoire de France. L’aménagement de cette nouvelle esplanade, plus vaste, moderne et accueillante, est une avancée attendue par les riverains. Elle offre désormais un espace de vie repensé, propice à la rencontre et à la convivialité. Mais cette journée d’inauguration a aussi laissé place à une question persistante : où sont les commerces promis ? L’absence de supermarché et de boutiques, pourtant annoncées depuis des mois et une nouvelle fois promises par le maire ce samedi, suscite une légitime frustration parmi les habitants. Car une esplanade vivante, ce sont aussi des services de proximité, des lieux pour faire ses courses, se retrouver, créer du lien. La promesse est belle… mais pour quand la concrétisation ? Les riverains attendent des actes, pas seulement des discours. Souhaitons que cet espace dédié à une femme d’action inspire des décisions rapides et concrètes pour faire de la Charmeraie un quartier réellement animé et complet.

Quartier de la gare : combien de temps encore allons-nous fermer les yeux ?

Le quartier de la gare est aujourd’hui un point névralgique, un lieu de passage quotidien pour des centaines d’habitants, commerçants et usagers des transports. Pourtant, il est aussi devenu un symbole du laisser-faire municipal, un espace où l’anarchie s’installe au détriment de la sécurité et de la qualité de vie de tous. Vous êtes nombreux à nous faire part de votre exaspération face à une situation qui se dégrade jour après jour : Comment accepter que cette entrée de ville, vitrine de Boissy, soit aujourd’hui laissée à l’abandon ? Pourquoi la municipalité reste-t-elle silencieuse alors que la colère gronde ? Une pétition citoyenne, lancée par un habitant du quartier, a déjà rassemblé près de 600 signatures. Pourtant, la mairie reste sourde à cet appel, prisonnière de son dogmatisme et de son inaction. Nous ne sommes malheureusement pas surpris. Le maire de Boissy théorise une prétendue « sécurité passive », qui n’est en réalité qu’une sécurité passoire. Trop habitué à se défausser sur l’État, il refuse d’agir, comme si la sécurité des Boisséens ne le concernait pas. Il est vrai que la sécurité est une mission régalienne de l’État. Mais certains maires prennent leurs responsabilités et complètent l’action des forces nationales en mettant en place des dispositifs locaux efficaces : police municipale renforcée, vidéoprotection… Autant de solutions que d’autres villes ont su mettre en place et qui portent leurs fruits. Ce qui est possible ailleurs l’est aussi à Boissy. Il ne manque qu’une chose : la volonté politique d’agir.Nous refusons de nous résigner et nous continuons à porter la voix de ceux qui exigent une ville plus sûre, plus propre et plus dynamique. Il est temps d’exiger des actes et de mettre un terme à l’inaction municipale et à l’autosatisfaction. 

Instauration de la ZFE (Zone à Faibles Emissions) : Une décision éloignée des réalités des Boisséens

Le 10 octobre 2024, le conseil municipal a été invité à se prononcer sur la consultation de la Métropole du Grand Paris (MGP) concernant la Zone à Faibles Émissions (ZFE). Cette mesure restreindra la circulation des véhicules classés Crit’Air 3, 4, 5 et non-classés dans le périmètre de l’A86, du lundi au vendredi, de 8h à 20h. Nous avons voté contre cette délibération pour plusieurs raisons majeures, car elle ne prend pas en compte les réalités de nos concitoyens. La majorité municipale a voté « pour » faisant fi de l’intérêt de nos concitoyens. D’abord, cette mesure frappe injustement les ménages modestes et les travailleurs Boisséens qui dépendent de leur véhicule pour des déplacements essentiels comme par exemple se rendre à l’hôpital Henri-Mondor ou pour nos commerçants du marché se fournir auprès du MIN de Rungis. Beaucoup d’entre eux ne peuvent tout simplement pas se permettre de changer de véhicule pour répondre aux nouvelles exigences écologiques imposées aujourd’hui et qui changeront peut-être demain. Les aides proposées restent largement insuffisantes pour compenser cette charge qui pèse sur les ménages déjà lourdement impactés par l’augmentation du coût de la vie. Ensuite, cette décision a été prise sans une véritable concertation auprès des habitants et sans étude d’impact détaillée sur les conséquences sociales et économiques pour notre territoire et ses habitants. Si lutter contre la pollution est une nécessité, cela ne doit pas se faire au prix d’une exclusion sociale.En l’état, cette ZFE menace de fragiliser davantage les familles Boisséennes sans alternative viable et fiable au véhicule individuel. Enfin, les dérogations locales annoncées pour des raisons économiques, sociales ou techniques sont floues et peu adaptées aux réalités de terrain. De nombreux Boisséens risquent de se retrouver sans solution, pris au piège d’une politique restrictive et mal anticipée. Nous réaffirmons notre engagement pour une écologie pragmatique, juste et solidaire, qui améliore la vie de tous sans sacrifier les plus vulnérables. Notre position est claire : Oui à la ZFE (Zone à Faibles Émissions), non à la ZFE (Zone à Forte Exclusion) !

Grand Paris Express : Boissy toujours mieux desservie avec l’aide de la Région et du Département

La mise en service du Grand Paris Express constitue l’élément phare de développement du Val-de-Marne pour les 10 prochaines années. Depuis juin, la ligne 14 relie l’aéroport d’Orly à Paris en moins de 30 minutes. En 2025, la ligne 15 sud traversera le Val-de-Marne, reliant Pont de Sèvres (Hauts-de-Seine) à Noisy – Champs (Seine-Saint-Denis / Seine-et-Marne) en 37 minutes. 10 des seize nouvelles gares de cette ligne se situent en Val-de-Marne. Les habitants de Boissy-Saint-Léger pourront y accéder via la ligne A du RER depuis Saint-Maur-Créteil. 2025 marquera également l’arrivée du tout premier téléphérique urbain d’Ile-de-France, baptisé Câble 1, reliant Villeneuve-Saint-Georges à la ligne 8 du métro à Créteil. Depuis plusieurs mois, les Présidents des départements du Val-de-Marne et de l’Essonne se sont mobilisés pour étendre la ligne 18 à l’est de l’aéroport d’Orly jusqu’à Boissy-Saint-Léger. Cette extension répond à l’impératif d’une desserte plus performante des territoires les plus éloignés des transports. L’objectif est non seulement de compenser la coupure naturelle créée par la vallée de la Seine, mais aussi de faciliter l’accès aux bassins d’emploi et d’activités autour d’Orly et Massy. La région Île-de-France a entendu cette demande, et vient de confirmer l’inscription du prolongement de la ligne 18 dans son schéma d’aménagement pour 2040. Une excellente opportunité pour les Boisséens ! Cette révolution des transports s’accompagne d’une refonte tarifaire plus juste et simplifiée. Dès le 1er janvier 2025, un billet unique métro-train-RER coûtera 2,50 € (1,99 € avec Liberté+) et un billet bus-tram 2,00 € (1,60 € avec Liberté+). Cela mettra fin aux billets Origine-Destination et à la grille actuelle qui comporte plus de 50.000 tarifs, allant de 2,15 € à 6,00 €. Les Boisséens, qui paient actuellement 5 euros pour un trajet en RER jusqu’à Paris, verront ce coût passer à 2,5 € (ou 1,99 € avec Liberté+). Toutefois, encourager les habitants à adopter les transports en commun, et ainsi protéger l’environnement, demande plus que des infrastructures adaptées. Il est nécessaire d’améliorer l’aménagement urbain, de rendre les abords des gares propres et sûrs. En ce sens, il reste encore beaucoup à faire à Boissy-Saint-Léger…

Bilan de l’été 2024 à Boissy-Saint-Léger

Fini les vacances, on ressort les cartables et les cahiers pour retrouver les bancs de l’école. Aux enfants et à leurs parents, nous souhaitons une belle rentrée ! Une année pleine de sérénité, d’épanouissement et de réussite. Pour la rentrée, nous souhaitons vous parler de 3 actualités qui ont retenu notre attention cet été. On a aimé : le passage de la flamme olympique au domaine de Grosbois A l’initiative du Département du Val-de-Marne, la flamme Olympique a traversé notre département le 21 juillet dernier et notre ville a pu en profiter. La flamme a fait un arrêt remarqué au domaine de Grosbois. Un moment historique rempli de joie et de ferveur populaire dont nous nous souviendrons tous très longtemps. À toutes les villes, agents municipaux et départementaux, associations, clubs sportifs, comités et fédérations, bénévoles, forces de sécurité…, un grand merci ! Un beau travail d’équipe, qui a préfiguré une belle fête olympique ! On n’aime pas : les tirs de mortiers et les rodéos sauvages Il y avait le 28 juillet dernier, au gymnase Maurice Préault, un tournoi de football inter-quartier. Bien-sûr, on aime que les jeunes se regroupent autour du sport et de ses valeurs, qu’ils s’amusent et profitent de moments joyeux pendant l’été. C’est une évidence. Cependant, nous ne pouvons pas cautionner que ces moments de joie, surtout lorsqu’ils se déroulent dans un équipement municipal, entrainent des désagréments importants pour le reste des habitants du quartier. Les tirs de mortiers ou les rodéos-sauvages qui ont eu lieu pendant plusieurs heures ce jour-là n’ont pas leur place dans ces évènements festifs. On n’aime pas : le stationnement anarchique Bd de la Gare Tous les soirs, c’est la même chose : des voitures garées en double file sur le boulevard de la gare pour récupérer les commandes ou les sorties de RER. Cette situation perturbe la circulation et met en danger les automobilistes, obligés de se déporter sur la voie de circulation opposée. Elle est d’autant plus incompréhensible qu’il existe un parking gratuit (1h) à quelques mètres. Ces deux situations que nous dénonçons et qui ne sont que des exemples parmi d’autres sont les conséquences d’une politique laxiste de la majorité municipale en matière de sécurité. Pas surprenant pour un maire qui a théorisé le concept de « sécurité passive » ou en réalité de sécurité passoire !

L’inaction de la mairie face à la dégradation du quartier de la gare

De nombreux riverains et commerçants tirent la sonnette d’alarme depuis des mois face à la situation déplorable qui règne autour du quartier de la gare. Incivilités, trafic et consommation de drogues en plein jour, vendeurs à la sauvette et poubelles jonchant les trottoirs… la situation ne cesse de se dégrader, impactant la qualité de vie des habitants et l’activité des commerces locaux. Malgré les plaintes répétées des résidents et des commerçants, la mairie reste étonnamment passive, sans mettre en place les mesures nécessaires pour endiguer ce fléau. Le manque de sécurité et l’absence de réponse concrète des autorités municipales laissent les citoyens dans un climat d’inquiétude et d’exaspération croissante. Il est grand temps que la municipalité prenne ses responsabilités et agisse pour restaurer l’ordre et la propreté dans ce quartier stratégique de notre ville. Le vivre-ensemble ne peut prospérer dans un tel environnement de laisser-aller. Les commerçants et habitants demandent des solutions immédiates : un renforcement de la présence policière, la mise en place de caméras de surveillance et une gestion rigoureuse de la propreté des lieux. Face à l’inaction de la mairie, il est plus que jamais urgent de passer à l’action pour redonner à ce quartier la tranquillité et la dignité qu’il mérite.

Passage à faune et requalification RN19 : Les crédits enfin inscrits au contrat de Plan Etat/Région

Tout en poursuivant la modernisation et le développement des transports du quotidien, ce Contrat de Plan Etat/Région s’inscrit dans un rééquilibrage territorial entre l’Est et l’Ouest de la Région Ile-de-France et permet de développer et d’aménager un territoire francilien polycentrique, accompagnant la dynamique du Grand Paris Express. Le Val-de-Marne se voit ainsi doté de plus d’1 milliard d’euros d’investissements pour ses infrastructures de transport. Une bonne nouvelle pour le Département du Val-de-Marne mais également pour la Ville de Boissy-Saint-Léger qui se voit attribuer les crédits nécessaires au passage à faune et le requalification de la RN19.

Un plan de sobriété énergétique qui manque clairement d’ambition 

Face à la crise de l’énergie, la ville de Boissy, comme toutes les villes de France, a voté son plan de sobriété énergétique. Nous avons approuvé ce plan, conscients que les collectivités, comme tous les Français, doivent faire des efforts face à l’explosion des prix de l’énergie. Pour autant, le plan proposé par le maire et son équipe manque cruellement d’ambition à la fois pour notre ville mais également pour les Boisséens. D’abord le plan proposé n’est pas chiffré. Combien la collectivité consomme-t-elle d’énergie aujourd’hui ? Quels sont nos objectifs pour demain ? Comment compte-t-on y parvenir et quels indicateurs mettons-nous en place pour évaluer nos progrès ? Un plan de bataille que tout à chacun met en place lorsqu’il souhaite faire des économies sur son propre budget. Ensuite, force est de constater que pour les particuliers, les travaux de rénovation énergétique coutent chers, malgré les aides disponibles. Par ailleurs, c’est un secteur où les arnaques sont nombreuses, touchant souvent les plus fragiles. Nous estimons donc qu’un plan de sobriété énergétique et de solidarité digne de ce nom doit s’accompagner d’une campagne de communication volontariste. La ville de Vincennes, par exemple, dans son dernier magazine, rappelle aux Vincennois les accompagnements financiers dont peuvent bénéficier les particuliers pour engager des travaux visant à faire des économies d’énergie (notamment les aides de l’Etat via le dispositif MaPrimeRénov’). Pour finir, nous considérons qu’un plan de sobriété énergétique et de solidarité digne de ce nom aurait dû s’accompagner de mesures plus volontaristes pour protéger le pouvoir d’achat des Boisséens. Alors que le Département du Val-de-Marne vient de lancer son propre chèque énergie, des villes proches de nous ont voté des mesures similaires.C’est le cas de la ville voisine de Limeil-Brévannes qui lance un dispositif « Coup de pouce inflation », une aide à hauteur de 80 € pour les personnes seules et 130 € pour un couple.Vous pouvez le voir, à Boissy, nous sommes loin du compte… L’ensemble de l’équipe Rassemblés et engagés pour Boissy vous adresse malgré tout de chaleureuses et bienveillantes pensées, en espérant que la sérénité du temps des fêtes de Noël soit un heureux prélude à la nouvelle année.

Disparition du Forum des associations, plan 50 000 arbres, Passe Navigo Culture

Madame, Monsieur, Chers Boisséens, Fini les vacances, on ressort les cartables et les cahiers pour retrouver les bancs des écoles. Aux enfants et à leurs parents, nous souhaitons une belle rentrée ! Une année pleine de sérénité, d’épanouissement et de réussite. Pour la rentrée, nous souhaitons vous parler de trois actualités qui ont retenu notre attention. On n’aime pas : la disparition du Forum des associations Cette année, exit le Forum des associations au Centre aéré du Bois Clary ! Il est transformé en une animation parmi les autres lors de la Fête de la ville, à Maurice Préault. Nous nous réjouissons de l’organisation de ce nouvel évènement ; nous avions proposé nous-mêmes cette idée dans notre programme en 2020. Nous regrettons cependant la disparition du traditionnel Forum des associations qui était un temps fort dédié entièrement aux associations et aux Boisééens de tous les âges, désireux de trouver une activité sportive, culturelle… On aime : le plan 50 000 arbres lancé par le Département du Val-de-Marne Le Conseil départemental a affiché sa volonté de planter 50 000 arbres supplémentaires dans le Val-de-Marne d’ici 2028. Depuis juin dernier, il propose aux communes une subvention pour participer à cet objectif ambitieux pour développer la nature en ville. Nous espérons que la municipalité saisira cette opportunité pour développer la couverture arborée – hors forêt – de notre ville ! On aime : le Passe navigo culture proposé par la Région Ile-de-France Depuis janvier 2022, le passe Navigo n’est plus seulement une carte de transports. Il offre également des avantages dans plus de 300 lieux culturels de la Région. Réductions dans des théâtres, cinémas, musées, salles de spectacles et festivals… A Boissy, votre passe Navigo vous permet d’obtenir un tarif réduit sur des séances du festival Ciné junior et sur des séances évènementielles au cinéma Le Forum. Avec ce coût de pouce, plus d’excuse pour ne pas profiter de l’offre culturelle francilienne ! À bientôt !

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