C’est un signal fort pour notre territoire : le prolongement de la ligne 18 du Grand Paris Express jusqu’à Boissy-Saint-Léger est en bonne voie de devenir une priorité partagée par de nombreux acteurs.
Pour Olivier Capitanio, président du Département du Val-de-Marne, et François Durovray, président du Département de l’Essonne, ce projet est un véritable activateur de territoire.
Pourquoi c’est si important ?
Parce que le Grand Paris Express est une révolution pour l’Île-de-France. Il permettra enfin de contourner Paris, de désaturer les lignes existantes et d’accéder plus rapidement aux grands pôles d’emploi, sans dépendre systématiquement de la voiture.
Or, aujourd’hui encore, le nord-est de l’Essonne et le sud du Val-de-Marne, dont Boissy fait partie, restent exclus de ce réseau structurant, alors que ces secteurs souffrent depuis longtemps d’un manque criant d’alternatives de transport, notamment vers Orly ou Rungis.
Une étude récente le confirme
Le prolongement à l’Est de la ligne 18 est le maillon manquant. Il offrirait :
- Un accès renforcé au Grand Paris Express
- Une vraie alternative à la voiture pour des milliers d’habitants
- Un gain de fréquentation de +130 % pour la ligne 18
- Une réponse concrète à la fracture territoriale
Et maintenant ?
Fort de ces résultats, les Départements du Val-de-Marne et de l’Essonne demandent à l’État et à la Région Île-de-France de financer les études du prolongement dans le cadre du prochain Contrat de Plan État-Région (CPER).
À Boissy, nous disons OUI à ce projet ambitieux !
Ce prolongement est une opportunité historique pour notre ville et pour tout le territoire. Il améliorera le quotidien des habitants, l’attractivité économique et l’équilibre territorial.
Avec Laure Thibault et notre équipe, nous soutenons pleinement cette mobilisation et resterons vigilants et actifs pour que Boissy ne reste pas à l’écart du Grand Paris de demain.