Depuis des années, associations de lutte contre les violences faites aux femmes, pouvoirs publics et élus multiplient les communications pour faire connaitre le 3919, ligne d’écoute gérée par du personnel formé.
Le projet du gouvernement de mise en concurrence de cette ligne, qui pouvait également aller jusqu’à un changement de numéro et de marketing, n’était pas entendable.
Cette marche arrière est une bonne nouvelle qui doit se traduire par un discussion constructive avec Solidarité Femmes, gestionnaire de la plate-forme et plus de moyens pour ce dispositif afin que l’accueil soit effectif 7/7 – 24/24 !
L’association y est prête. La balle est donc dans le camp de l’Etat.